La femme sur le quai
Datte: 25/04/2020,
Catégories:
Mature,
Hardcore,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... hésité quelques instants, puis j’ai tendu une main vers ses nichons. J’en ai palpé, puis je l’ai soupesé. Valérie suivait le geste des yeux, sans rien dire, sans sourire.
J’ai mieux tripoté son nichon, puis mon autre main s’est posée au bas de son ventre, juste au-dessus de son pubis. Je l’ai laissée glisser et j’ai touché sa chatte par-dessus le tissu de la robe.
Valérie a dit :
« Oui, c’est bien… »
Je l’ai regardée dans les yeux et j’ai dit :
« Vous vous déshabilleriez ? »
« Bien sûr, dit-elle. Tu veux que j’enlève quoi ? »
« Tout, sauf vos bottes. »
Elle a commencé par ôter son blouson en cuir en disant :
« Et toi, tu enlèves quoi ? »
« Rien pour l’instant. Je veux vous voir à poil. »
Elle a souri, puis posé son blouson sur le couvercle de la cuvette. Ensuite, elle a défait la fermeture de sa robe dans son dos, puis fait glisser le tissu jusqu’à ses chevilles en veillant à ce qu’il n’entre pas en contact avec le sol. Elle portait un soutif noir en dentelle, semi-transparent, et une culotte assortie qui révélait une toison sombre. Ce n’était pas un collant qu’elle portait, c’étaient des bas.
Elle a plié la robe sur son blouson, puis, tout en baissant ma braguette, je lui ai dit :
« Enlevez votre culotte, gardez votre soutif. »
« Ça me plait bien, dit-elle en pinçant l’élastique de son sous-vêtement pour le baisser en se penchant en avant. »
Ses poils étaient coupés courts sur un mont de Vénus bien bombé.
Elle a posé sa ...
... culotte sur sa robe, puis s’est tournée vers moi. Je tenais ma bite entre mes doigts. Elle était raide.
De l’autre main, je me suis mis à lui caresser la chatte, doucement. Elle regardait mon gland qui n’était pas encore décalotté. Ses gros nichons étaient à la limite de déborder de ses bonnets.
« Ça te plait ? demanda-t-elle. »
« Oui. »
Ses lèvres étaient mouillées.
Elle continua en disant :
« Veux-tu qu’on ait une relation sexuelle ? »
J’ai secoué la tête :
« Oui, debout, comme ça. »
Elle a légèrement écarté ses pieds, et donc ses cuisses. Je me suis avancé en écartant de même mes jambes afin d’approcher ma queue de sa grosse chatte à la bonne hauteur. J’ai frotté mon gland contre son clito, puis contre ses lèvres humides. C’est le moment qu’elle a choisi pour faire glisser une bretelle de son soutif et libérer son nichon gauche que je me suis mis à sucer aussitôt, tout en sentant ma bite pénétrer sa moule. J’ai dû m’y reprendre à trois fois pour qu’elle entre tout entière.
Cette position inconfortable me convenait. Elle me permettait de faire des va-et-vient assez lents. L’arôme de la mouille sur ma bite se mélangeait à l’odeur de produit d’entretien. J’avais empoigné sa fesse droite pour bien la malaxer, aventurant mes doigts à la jonction des deux afin de toucher un peu l’anus qui était tout chaud.
Un peu plus tard, je l’ai prise par derrière. Ses fesses bien ouvertes et ses mains plaquées au mur au-dessus de la cuvette, elle avait enlevé son ...