Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... Oui…

Engagée comme cela, la conversation allait durer une heure au moins, la voix de ma petite chérie me berçait. Ses mots flottaient dans l’air, ils mettaient des heures pour parvenir à mon cerveau. Mes paupières se sont baissées d’un seul coup et un silence d’or m’envahit. Rompu de fatigue, je quitte la piste sans pouvoir avoir la moindre idée de ce qu’elles vont mettre en place. Je m’endors profondément du sommeil du juste.

Six heures, le réveil sonne. Au radar, je file aux toilettes puis dans la salle de bain. Rasage, douche. Je reviens dans la chambre, j’enfile ma robe de chambre. L’odeur du café que M vient de nous préparer me titille les papilles nasales.

— B’jour ma biche… bien dormi ?
— Aussi bien que toi, lâcheur… et si j’avais eu envie de me faire caresser hier soir ? Il n’y avait plus personne de présent quand je me suis couchée.
— Deux possibilités, la première tu m’aurais réveillé. Quand ta petite figue te démange vraiment, tu ne te gênes pas. Ou bien alors, et ça tu sais bien le faire toi-même, en jouant avec tes fantasmes. Certaines fois, je fais semblant de dormir et je ne perds pas une miette de ce magnifique spectacle. Te sentir tout contre moi commencer, doucement, tendrement, à caresser tes seins, te les masser d’une main pendant que l’autre descend sur ton ventre, passe sur ton pubis, glisse le long se tes jambes puis remonte à l’intérieur de tes cuisses. Ta main gauche quitte tes seins, se pose sur ton mont de vénus pendant que l’autre, ...

... coquine, arrive tout en haut entre tes cuisses. Tu écartes tes jambes pour être plus à l’aise. J’imagine ton doigt s’insinuer entre tes lèvres tout en remontant. De ta main gauche tu écartes, maintenant, tes grandes lèvres pour rendre accessible ton petit bouton sensible que tu caresses doucement avec deux doigts de la main droite. Ton rythme s’accélère progressivement, ta respiration devient haletante… Je devine ta main gauche qui s’ouvre et tu te glisses deux doigts dans la chatte… Tu te fouilles au rythme de ta masturbation… Ton bassin tressaute, tu me fais bouger dans le lit… et puis je t’entends soupirer profondément en poussant un « Oooooh » qui en dit long sur ton plaisir.
— Oh ! le petit vicieux qui fait celui qui dort et qui me mate en train de me faire jouir !
— C’est vrai, et tu ne peux pas savoir combien c’est excitant d’imaginer ta figue toute trempée de ta liqueur de plaisir. Bien des fois, j’aurais envie de t’interrompre avant ta jouissance et te pénétrer d’emblée, sans ménagement, mais je préfère te laisser le choix de la manière dont tu veux jouir.
— Merci, mon cœur… j’apprécie cette attention.
— Bon c’est assez, je bande comme un éléphant. Nous n’avons pas fini de déjeuner, nous allons être en retard au boulot…
— Chéri, si tu le veux bien, il faudrait que nous soyons au « Jourdan » vers 20 heures.
— Un petit bout de pipe pour refroidir ma verge bouillante ?
— Bijou, j’aurais aimé te prendre dans ma bouche, mais ce matin, pas le temps, nous nous ...