Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... Mets-toi sur le côté, petite cochonne. Nous allons te faire voir ce que nous pouvons faire d’autre pour ton plus grand plaisir. Enfin, je l’espère. N’est-ce pas, M ?
— Bien entendu que nous allons lui faire découvrir une autre page du grand livre des plaisirs merveilleux que seules les femmes savent s’apporter entre elles… Même si les hommes sont capables de pratiquer de façon identique, ils ne connaissent pas, aussi bien que nous, les sensibilités de nos corps. Ils ne sont pas assez patients. Toujours trop pressés de se retrouver au fond de notre grotte soyeuse. Soulève ta jambe, jolie Sophie, et abandonne-toi totalement. Ferme les yeux et sois toute à tes sensations.

Nos deux amies s’allongent tête-bêche le long de son corps. Formant chacune un angle de quarante-cinq degrés de manière à se trouver inaccessible. Leurs mains frôlent, qui un pied, qui une hanche ou encore leurs bouches embrassent une cuisse détendue et un ventre attentif. Leurs langues entrent en action en suivant la courbe d’une fesse qui se tend de surprise ou s’immisçant au creux de l’aine glabre. Des bisous coquins résonnent dans le silence quasi religieux de ce salon personnel.

Véro ayant pris en charge la face nord de Sophie, M s’occupe de la face sud. Les langues deviennent de plus en plus précises, de léchouilles en léchouilles, elles s’approchent des points sensibles.

Sophie vibre comme la corde d’une harpe, se tend comme celle d’un arc. Ses halètements succèdent à ses soupirs. L’impression ...

... de chuter dans le vide créée une sorte de vertige qui lui noue le ventre. Elle n’attend plus qu’une chose, que ces langues prennent possession de ses points érogènes les plus impatients, les plus secrets, jamais atteints par une femme.

C’est comme une délivrance lorsque la bouche de Véro se pose sur son abricot tout lisse, l’embrasse comme la bouche de son visage. Elle aime sentir le souffle chaud sur son intimité. Sa fontaine se met à déborder. Sophie aime tout autant les mains de M qui lui écartent fesses. Ça lui ouvre aussi la chatte un peu plus. La langue suit sa grande vallée jusqu’à sa petite rondelle toute serrée qui se contracte instinctivement (et pourtant ce lieu a déjà été exploré par son homme, par des hommes). Cette langue fureteuse fait le tour de ce puits plissé y déposant un épais film de salive. Le souffle, à cet endroit aussi, lui procure une très forte sensation. La langue pointe à l’entrée de cette grotte sombre, elle appuie de plus en plus fort, la pression fait céder le sphincter. La langue la pénètre doucement, millimètre par millimètre, tournant tout autour de son orifice. Elle sent l’injection de salive lubrifiante et la langue qui se glisse plus avant. Elle se détend, s’abandonne.

À cet instant précis, Véro aspire son petit bouton bandé et enfonce deux doigts à l’entrée de sa chatte trempée. Cette pénétration recto-verso la fait jouir instantanément, mais elle en veut plus, encore plus. M lui glisse elle aussi un doigt dans le vagin pendant que ...