Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... sous la mini-jupe, elle caresse les petites fesses rebondies. Sophie ondule lorsqu’elle sent ses deux gros globes écartés et massés. Elle défaille subitement quand les doigts de Véro arrivant au bas du pubis se glissent juste à la naissance de son sillon intime. Grognant de bien-être, Sophie ouvre ses jambes en signe d’abandon total.

— Attends, ma chérie, tu veux que je te débarrasse de toutes ces étoffes qui t’étouffent, qui t’entravent et qui nous gênent ? lui demande Véro.
— Ouiiii… Ouiiii… Oui, je veux tout ce que vous voudrez, vous me rendez folle tellement c’est bon. Jamais je n’ai été aussi excitée que ce soir… Ahhhhh… Ohhhh…

Le doigt de Véro vient de toucher le clitoris sorti de son capuchon. Il en fait le tour puis repart agacer le bord des grandes lèvres, là où la peau est la plus fine à l’intérieur des cuisses. Il redescend appuyer légèrement sur le clitoris, poursuit sa course entre les petites lèvres, titille le bord de l’urètre et poursuit jusqu’à l’entrée du vagin distillant une quantité affolante de cyprine.

Sophie tortille des fesses à cette attaque, vibre encore davantage quand les doigts de M suivent le sillon fessier. Elle tremble lorsqu’elle sent une pression insistante sur sa petite rondelle. Soupire quand les doigts poursuivent leur course et délivrent une savante caresse sur le petit pont, entre anus et vagin. Son jus de plaisir lui coule le long de la cuisse quand, en même temps, elle sent le doigt de Véro et celui de M pénétrer sa ...

... chatte. Elle défaille, glisse entre ses bourreaux, s’agenouille, le souffle court, un son rauque s’échappe de sa gorge lorsqu’elle veut dire : « Je jouis ».

Elle s’allonge sur le sol, bras et jambes en croix, impudique, offerte sur l’autel du plaisir. Elle se fait lécher, sucer, mordiller. Elle est caressée, embrassée, pénétrée, fouillée. Sa respiration s’accélère, sa bouche est sèche, son ventre se contracte et du plus profond de son sexe remonte une explosion de jouissance… Elle ne sait plus où elle est. Sophie a l’impression de perdre connaissance. Elle est épuisée. Épuisée et heureuse… Il faudra, un jour, leur rendre le plaisir qu’elles viennent de lui offrir. Là, maintenant, elle ne peut pas, elle est morte de plaisir. La seule chose qu’elle puisse faire, c’est les embrasser goulûment toutes les deux.

— Eh bien, ma belle, tu as du tempérament ! Ta jouissance m’a fait mouiller, touche pour voir, lui dit Véro.
— Laisse-toi aller, ma chérie, passe ta main entre les cuisses de Véro et entre les miennes aussi, nous l’avons bien mérité, non ?
— Je n’osais pas…
— Qu’elle est bête, cette petite ! On aime aussi se faire toucher, tu sais, lance Véro en guise de confirmation.

Sophie, timidement, tend les bras entre les cuisses de ses deux amies, touche leurs vulves, constate l’humidité régnante et glisse deux doigts simultanément dans les chattes béantes. Après s’être fait tripoter un petit peu, nos deux expertes reprennent le chemin du corps qui s’est offert à elles.

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