Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... C’est du sport vous savez, les garçons ! rajoute M en me prenant par la main. Vous vous êtes un peu occupés depuis que vous nous avez abandonnées ?

Bien obligés, nous avons dû faire un rapport circonstancié des évènements nous concernant. Et, naturellement, j’ai expliqué à nos femmes le petit problème qui hante ma jeune partenaire de tout à l’heure.

— Dis-moi, M, c’est qu’il nous prendrait pour des professeurs, ton grand. C’est un compliment, je trouve ! Cependant, après un petit break, j’aurai bien aimé reprendre un petit peu d’hommes. J’ai trouvé un peu bref, au début. Le coquin qui m’a prise dans le couloir était trop excité et n’a pas duré assez à mon goût, mais il m’a quand même fait jouir.
— Pour moi, non, bien dans la cabine vidéo. Je dirais même bon et excitant de se faire prendre sans savoir par qui. La cabine était vide, je me suis avancée pour regarder un peu la vidéo cochonne et quelqu’un m’a prise par les hanches, me poussant gentiment à l’intérieur, m’a demandé si je voulais bien me pencher en avant… et hop… j’y ai eu droit ! Enfin, ton idée de se faire câliner par un autre nouveau mâle n’est pas pour me déplaire. Pourtant, il va nous falloir jouer aux sœurs Theresa mais seulement après avoir bu un petit jus de fruit pour me réhydrater et me donner le temps de récupérer les forces perdues dans ce deuxième quart temps.
— OK, ma chérie, mais avant, il faut que je fasse un petit pipi. Tu viens avec moi ? Les garçons nous vous retrouvons au bar dans une ...

... minute !
— Wouii, petites coquines… Jus d’orange pour tout le monde ? demande Jean-Louis.
— Wouii, répondent-elles de concert avant de disparaître dans la pénombre.

Nous nous installons au bar de l’entrée. Max vient aussitôt nous demander ce que nous désirons boire et s’enquiert de savoir si la soirée se déroule comme nous souhaitions.

— Quatre jus d’orange pour la première question… Très bien, comme à chaque fois où je suis venu, pour la deuxième et, quand laisserez-vous la bride lâche à votre belle Sylviane, pour la troisième, répond Jean-Louis.
— En un, c’est parti. En deux, vous m’en voyez ravi et parfaitement satisfait que mon établissement réponde à vos attentes. En trois, ici jamais ! Il ne faut jamais mélanger travail et plaisir ! Néanmoins, pendant nos vacances ou lors des fermetures du « Sauna », il nous arrive de prendre le temps de profiter de nos corps. Elle est tellement belle ma Sylviane, hein ?
— Superbe, une femme magnifique, heureux homme que vous êtes, lui réponds-je.

Nos jus d’orange quasiment finis, nos « moitiés » nous rejoignent. M m’informe discrètement que toutes deux sont fraîches comme au premier jour. Prêtes à s’occuper de ma petite jeune « coincée ».

— Au fait, elle s’appelle comment cette petite ?
— Je ne sais pas.
— Tu as entendu, Véro, monsieur prend sous sa coupe une jeune femme dont il ne connait pas même le prénom ! Quel manque d’éducation !
— Mais enfin, je… balbutiai-je sans avoir le temps de finir ma phrase.
— Oui, ma ...