Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... situation de la petite blonde et lui demande s’il verrait un inconvénient à ce que Véro participe avec M au déblocage de la jeune friponne. Expliquant bien qu’en cas de réussite j’aurais droit à une prime spéciale. C’est bien sûr sans aucune retenue que mon ami accepte l’expérience.

— Aurai-je droit, moi aussi, à une prime ? Je plaisante, quoique je n’y verrais pas d’inconvénient…
— Je plaiderai pour toi et tu sais par expérience que ce qui est à moi est à toi. Alors partager ensemble ce qui ne m’appartient pas…
— Bon, il faut qu’on se dépêche de les retrouver, nos petites vicieuses, sinon elles n’auront plus assez de force et adieu la prime du « Grand ».

Nous n’eûmes pas à chercher longtemps. Jean-Louis le premier reconnut sa femme, à califourchon au-dessus d’un visage dont la langue lui léchait la fente copieusement et qui disparaissait régulièrement dans son vagin. Véro rendait son plaisir en écartant largement les cuisses de sa partenaire inférieure et lui glissait plusieurs doigts dans la chatte poilue. Elle la baisait de sa main, la limant de plus en plus vite. Le plaisir devait monter chez « la maltraitée », elle resserrait les cuisses par à-coups, puis les rouvrait largement, ondulant du bassin de droite à gauche et de haut en bas s’enfilant encore plus profondément cette main qui, maintenant, disparaissait quasiment en entier dans le vagin offert.

— M, à genoux, des deux mains écartait le cul de Véro, la léchait du clito à l’anus. Par moment, les deux ...

... langues qui s’occupaient de Véro se mêlaient l’une à l’autre. M, la lécheuse, se faisait branler par une femme d’un certain âge tout en embrassant goulûment une autre, plus jeune qu’elle, qui la doigtait. De toute part c’était une débauche d’énergie incroyable. Jouir et vouloir faire jouir à tout prix était la volonté de ces femmes… était-ce les phéromones exhalées qui décuplaient leurs sensations, leurs envies, leurs besoins ? Était-ce le fait de s’exhiber et d’être regardées ? Ou de savoir qu’elles excitaient un maximum les hommes présents ? Enfin, le fait est que toutes se démenaient comme des diablesses en manque de plaisirs. Mais, bon sang, que c’était excitant ! Nous étions, nous les spectateurs, tous en érection.

Voir M dans cet état me surprenait, je la savais très sensuelle, le désir à fleur de peau. Je la savais très sexuelle, toutes nos expériences, tant en couple qu’avec un ou deux autres partenaires, le prouvaient. Mais là, j’en étais « baba »… Dieu (s’il y en avait un, ne serait pas ici) qu’elle était belle dans cet état ! J’ai toujours aimé la regarder prendre du plaisir. Et, après, la serrer dans mes bras, morte de jouissance, quel bonheur pour moi !

Il nous a fallu attendre une bonne dizaine de minutes avant que toutes ces « harpies » retrouvent un peu leurs esprits et qu’elles daignent laisser la place libre à d’autres tigresses avides de sensations « gouinesques ».

— Hooooo… que j’aime, mais ça fatigue… nous dit Véro après avoir embrassé son homme.
— ...