Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... gauche des hanches aux fesses de la mienne. Il serre M de très près pour pouvoir atteindre la zone érogène de l’aine. La caresse, là du bout des doigts délicatement, puis revient effleurer ses fesses pour repartir sur la cuisse offerte par le tissu qui vient de glisser.

Ma main gauche caresse le côté de Véro, passe sous son bras pour aller lui agacer l’aisselle. La caresse lui convient, elle écarte légèrement son bras. Je remonte sur son épaule que je masse doucement, puis son cou. Elle penche la tête, s’abandonne et pendant ce temps, ma main droite n’est pas inactive. Elle s’occupe de son ventre, de ses seins rebondis et gonflés aux mamelons déjà tendus. J’entends M soupirer d’aise, je ne vois pas pourquoi… Véro frissonne lorsque ma main glisse sur sa cuisse, et que deux de mes doigts frottent son pubis tout lisse. Instinctivement, elle ouvre légèrement ses cuisses. Je m’immisce dans l’espace offert, puis descends mon majeur sur le haut de ses grandes lèvres, force un passage déjà bien humide, aguiche son petit bouton rose tout dressé, sensible. Je le glisse encore entre ses lèvres jusqu’à l’entrée de son vagin. Elle coule de plaisir, je lui mets deux doigts dans sa petite chatte affamée.

— Bon, continue Jean-Louis, le long du couloir, sur la droite, quatre petites pièces vidéo équipées d’une banquette, éclairées juste par l’écran. Au fond derrière la grande porte, le bassin pour une bonne douzaine de convives. Sur la gauche, un escalier nous conduit à un couloir ...

... desservant quatre grandes pièces, quatre espaces bien différents les uns des autres.

Le premier, une pièce magnifique tout entourée de tentures rouges sur lesquelles jaillissent les rayons de spots lumineux, cela imprime une ambiance vive, indirecte et chaude. Du plafond chutent de voluptueux voilages roses, faisant un superbe baldaquin à la grande couche circulaire disposée au centre et réservée à l’usage de ces dames. Elles peuvent s’y montrer, se caresser, s’offrir, s’exhiber, s’exciter. Tout autour, des banquettes pour les voyeurs.

Le second, tout capitonné de cuir blanc clouté, comporte sur trois de ses faces une contrecloison en U, dans laquelle des ouvertures ont été pratiquées pour laisser passer des verges. Verges sans visages. Verges à lécher, à sucer, à mordiller, à masturber, à faire jouir avec la bouche ou la main et, même, si ces dames le désirent, elles peuvent se les mettre elles-mêmes et s’agiter dessus au rythme de leur choix. Le long du quatrième côté de la pièce sont disposés des fauteuils capitonnés, rouges, très confortables permettant, le plus confortablement du monde, de profiter du spectacle donné par des femmes gourmandes de sexes.

Le troisième, c’est l’espace satin. Tout y est satiné de tissu noir, du sol au plafond. Un gigantesque lit rectangulaire, drapé de satin blanc, est disposé au centre. Il peut permettre de s’exprimer à dix couples en même temps. Là, tout est permis à tout le monde. Tout un chacun appartient, s’il ou elle le veut, aux ...