Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... effets, chacun dans son coffre. La clé est fixée à un bracelet de cuir que l’on se passe autour du poignet. « Et surtout faites bien attention de ne pas l’égarer. Sinon, vous repartez tout nus », nous dit Véro nous guidant comme une véritable maman, elle nous explique tout. Enfin, je croyais que c’était tout.

Bon, nous avons droit à un cocktail de bienvenue que nous devons prendre au bar. Pour une première visite, c’est de rigueur. Cela permet de se détendre et d’entrer progressivement dans l’ambiance. Mais aussi de faire plus ample connaissance avec ce sympathique Max, maître des lieux. Cela lui donne la possibilité de mieux savoir à qui il a à faire. De filtrer les « mauvais clients ». C’est un gage de tranquillité d’esprit pour tous les participants.

Cette information donnée par notre Ami nous donne, à M et moi, la petite bouffée d’oxygène qui nous manquait et faisait que nous ne nous sentions pas complètement à l’aise. Ne me demandez pas à quoi est le cocktail qui nous est servi. Nous sommes incapables de le dire. Il est fort, peut-être du rhum, du poivre ou je ne sais quelle épice le rend piquant ; acidulé, ça, c’est le jus d’orange… perdu, c’est de la mangue, me dit-on… et de m’entendre dire, aussi, que le secret de fabrication est jalousement gardé par Max mais qu’il ne serait pas impossible que certains éléments aphrodisiaques viennent compléter la recette. Le calice est grand, son contenu très agréable à boire. Au fur et à mesure que nous le sirotons, nous ...

... nous sentons beaucoup plus légers, calmes. Tout à fait conscients mais désinhibés. Chablis plus cocktail font que tous nos sens commencent à devenir exacerbés. Bien, ce cocktail !

Pendant que j’essaie de deviner la recette de l’élixir savoureux, Jean-Louis, assis sur un tabouret haut, entre nos deux femmes, leur caresse le dos et même le bas du dos, pour ne pas dire les fesses. Et, ma foi, les deux Pépettes ont l’air d’apprécier la chose. Leurs rires pointus démontrent qu’elles sont un peu… parties… et attentives à ces premières émotions. Je rapproche mon tabouret de Véro de manière à ce que nos cuisses se touchent.

— Mon chéri, sois bien élevé quand même, prends soin de ton hôtesse ! Tu la délaisses alors que son mari ne peut fournir partout à la fois. Soit gentil, mon cœur, cajole-la comme elle le mérite, me dit M.
— J’essayais de déchiffrer cette boisson qui, d’avis de moi, vous a échauffé les sens. Mais soyez rassurés, je vais la câliner notre petite Véro et ce dès maintenant. Vous allez en pâlir d’envie.
— Oui, caresse-moi, comme tu sais le faire. Bien… Une fois que nous aurons terminé ici, nous passerons la porte au fond. Pas celle qui se trouve à droite du bar, c’est réservé uniquement aux messieurs… si l’on peut dire… mais je les aime bien, ils sont gentils. Nous serons maintenant dans la lumière feutrée d’un couloir qui mène aux délices des sens.

Jean-Louis, tout ouïe, n’en est pas moins tout à son occupation. Sa main droite palpe les fesses de sa femme et sa ...