1. Retour plus délicat de Madeleine Lepont


    Datte: 24/04/2020, Catégories: fh, fhh, hplusag, fplusag, couple, extracon, jalousie, Oral fgode, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... de la caillette à se faire enculer. Après avoir un instant hésité à user son vit, la vue d’un binet le décide. La chandelle en est bien courte et surtout trop fragile, mais est posée à côté la grande cuillère de bois qu’il vient de finir de tailler. Il s’en empare et la fiche dans le cul, enfonçant d’un coup quatre bons pouces du manche. Icelui fait un pied de long et est terminé par une boule d’un pouce et demi.
    
    Madeleine ne peut retenir un : « Ho ! », qui n’est nullement de protestation, puisqu’elle retend les fesses. Devant invite aussi explicite, il poursuit. De la queue il laboure la chatte et de la cuillère le cul. Celle-ci s’enfonce de plus en plus dans ce dernier. Après quelques allées et venues, c’est huit pouces qui disparaissent dans l’étroite porte. Madame Lepont oublie totalement Monsieur son époux, toutes pensées concentrées sur le ramonage de ses deux conduits intimes. Enfin pas entièrement toutes. Il lui reste juste assez d’esprit pour se rendre compte où elle est et ne pas manifester bruyamment son contentement. Renaud se vide une nouvelle fois sur ses fesses, mais il continue de manœuvrer la cuillère avec entrain jusqu’à ce que la dame finisse par crier grâce et s’effondrer sur le lit, ce qui prend un certain temps et même un temps certain.
    
    Tandis que Madeleine reste inerte à plat ventre sur le lit à cuver son plaisir, Renaud en profite pour faire un brin de toilette. Il vient à peine de finir qu’une voix l’appelle. Il se revêt au plus vite en criant ...
    ... à sa mère qu’il arrive. Ce charivari tire Madeleine de sa douce torpeur. Le temps qu’elle émerge, il a déjà quitté la pièce en lui lançantmezzo voce que sa mère est rentrée plus tôt que d’habitude du marché. Cela l’éveille tout à fait et, craignant de se faire surprendre, l’affole. Elle se précipite sur ses vêtements, mais se rend compte, tartinée de foutre comme elle l’est, qu’elle ne peut les remettre, sans s’être lavée un minimum. Elle s’empare du broc. Icelui est vide, Renaud l’ayant vidé pour ses ablutions. Elle ne peut aller en réclamer, aussi se résout-elle à prendre le linge plus que douteux dont son fouteur s’est servi et entreprend-elle de se nettoyer. Le résultat est loin d’être idéal, elle reste plutôt poisseuse. Il faudra que dès son retour à la maison elle ablutionne d’urgence.
    
    Elle rentre au plus vite en priant de ne croiser personne de sa connaissance, tant elle a l’impression de sentir le foutre. Ce qui n’est pas qu’une impression par contre c’est le feu qui embrase son cul. Renaud n’y est pas allé de main, ou plutôt de cuillère morte, avec sa porte dérobée.
    
    La chance est avec elle. Elle arrive jusqu’à sa chambre sans rencontrer personne, hors une bonne à qui elle commande de l’eau chaude en coup de vent. Un quart d’heure plus tard, elle est récurée. Quand elle rejoint son époux pour le repas, c’est comme si rien ne s’était passé, si ce n’était son troufignon incandescent.
    
    Le soir, Eudes, encouragé par l’attitude de Madeleine la veille, l’attire vers ...
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