1. Retour plus délicat de Madeleine Lepont


    Datte: 24/04/2020, Catégories: fh, fhh, hplusag, fplusag, couple, extracon, jalousie, Oral fgode, pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... moins oiseuses où sa conduite en captivité ne manquerait pas d’être évoquée. Elle est à moitié consciente de son attitude, comme si son être s’était partagé : d’une part son esprit qui réprouve, de l’autre son corps qui appelle. Le second parvient à modérer les velléités d’opposition du premier, suffisamment pour les rendre inefficaces.
    
    Malgré ses gesticulations, elle se trouve promptement troussée et dépoitraillée. En plus, cette lutte l’échauffe de plus en plus et quasi cesse quand Renaud réussit à lui glisser la main entre les cuisses et lui astiquer la moule. Il ne faut qu’une poignée de secondes de plus pour qu’obligeamment elle desserre les jambes. Le polisson en profite bien sûr pour pousser son avantage. Il fait sortir le bouton magique et le cajole du bout des doigts. Pour Madeleine les braises qui n’avaient point été refroidies la veille et encore moins le matin, s’attisent pour devenir un brasier ardent, d’autant que Renaud gobe un téton pour le téter, le sucer, le mordiller.
    
    Après avoir amplement profité de cette douce médecine, elle aspirerait volontiers à quelque chose de plus substantiel. Comme s’il lisait dans ses pensées, il lui enfonce deux doigts dans la chatte, il les fait gambiller, tout en gardant son pouce sur le clito turgescent. La belle goûte fort la médication. Cela ne l’empêche concomitamment, de délasser fort adroitement ses chausses, pour en sortir un vit de fière allure. Quand il retrait ses doigts, c’est pour l’enfoncer aussitôt dans le ...
    ... puits d’amour de la dame. Il la besogne avec vivacité. Madeleine se retient de par trop couiner. Même s’il tient plus longtemps que son mari, Renaud se retire et décharge trop hâtivement à son goût.
    
    La gourmande se hâte de gober le sexe gluant sans tergiversation. Elle œuvre avec conviction et application digne de figurer dans les annales. Le galant ne tarde pas à retrouver une raideur de bon aloi. Contrairement à Eudes, il ne la laisse pas jouer de la bouche trop longtemps. Il se dégage et la fait mettre à quatre pattes. Elle s’exécute en profitant pour se défaire de ses vêtements qu’elle juge incommodants pour l’exercice en cours. Une fois en position, elle tend l’arrière-train. Il la saisit par les hanches et s’engouffre dans la vulve spumeuse. Il la travaille avec tant de cœur qu’elle est projetée en avant à chaque coup de boutoir, mais cela n’est point fait pour lui déplaire. Elle revient à chaque fois au-devant du pieu qui l’assaille.
    
    Cette fois-ci la cavalcade dure plus longtemps et Madeleine prend son pied en se mordant les lèvres pour ne pas ameuter le voisinage. Cela ne l’empêche pas, quand il vide à nouveau les couilles, de se retourner et de se remettre à le sucer, jusqu’à ce que son partenaire ait retrouvé la consistance adéquate. Incontinent elle se remet à quatre pattes en se cambrant encore plus, bien que cela paraisse impossible.
    
    Renaud repart à l’offensive. Après quelques minutes, en voyant la croupe tendue, il lui vient une idée. Il connaît le goût ...
«12...678...13»