1. La maman dévergondée, 14° partie


    Datte: 23/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou Partouze / Groupe Humour Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... me fouettât le cul.
    
    Maman a subi le châtiment réservé aux plus dépravées, dans toute sa rigueur : la tige de cuir sifflait dans l’air et s’abattait en rythme sur son postérieur, sans forcer, mais sans faiblesse non plus, laissant à chaque passage une marque sur les globes fessiers qui en sont devenus écarlates. À moins d’avoir une âme de martyr, beaucoup de femmes, et même d’hommes, auraient pleuré sous l’effet du supplice. Mais pas ma mère ! En effet, l’insolente, non contente d’aimer se faire punir de la sorte, au lieu de prier dévotement pour accueillir la sainte souffrance et arracher le péché de son cœur, au contraire, augmentait sa culpabilité en ressentant de la volupté, et même se caressait en même temps, jusqu’à parvenir à la jouissance !
    
    Le prêtre s’apprêter à finaliser son sacrement en enfonçant son grand braquemart dans le petit trou borgne de sa charmante pécheresse, mais il s’est ravisé au dernier moment en se disant que non, ce n’était pas suffisant qu’elle souffrît d’avoir l’oignon écartelé à cause de l’épaisseur du gourdin : il lui en faudrait deux, énormes de préférence ! Dans cet objectif de garnir le fion maternel le plus possible, mon père était particulièrement bien équipé. Le père Daniel lui a donc demandé de s’approcher afin de l’accompagner dans cette double pénétration anale, et le moins qu’on puisse dire est que mon paternel ne s’est pas fait prier.
    
    J’ai participé à la fête lubrique en glissant sous le trio afin de glisser mon membre dans ...
    ... le vagin de ma Maman chérie, afin de finaliser la triple pénétration : deux bites dans le cul et une autre, la mienne, dans trou vaginal. Nous trois pilonnions joyeusement à virils coups de reins. Ma mère était on ne pouvait mieux farcie.
    
    D’autant que le couple de lesbiennes n’est pas resté inactif : elles se sont procuré un second gode double. Chacune des tiges de plastique coloré de rouge pour l’un et de vert pour l’autre était enfoncée dans un vagin par l’une de ses extrémités, et l’autre était fourré dans la bouche de Maman. De plus, ces objets de silicone souple étaient munis d’un trou les traversant dans leur longueur, de sorte que les liqueurs féminines copieusement sécrétées par les sexes excités se déversaient directement dans la bouche de ma mère qui devait tout avaler, gavée de cyprine autant qu’une oie du Périgord l’est de maïs. Les deux jeunes filles étaient très coquines, parce qu’elles s’embrassaient à pleine bouche tandis qu’elles enfouissaient leurs godemichés comme s’ils étaient vraiment des bites de chair, en les glissant profondément dans la gorge de leur soumise. Celle-ci en éprouvait des haut-le-cœur, et les deux jeunes complices éprouvaient du plaisir de cette drôle de fellation comme si ces phallus artificiels appartenaient à leurs corps. De là où je me trouvais, allongé sur le dos, je contemplais ce spectacle magnifique depuis le raz du sol, en regardant vers le haut les cuisses des deux gougnottes.
    
    Maman ne pouvait pas parler, mais elle a montré ...