1. La maman dévergondée, 14° partie


    Datte: 23/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou Partouze / Groupe Humour Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... sexualité lesbienne, tout en charme, en souplesse et en lèchements. Papa a été ébloui par ces tribades impudiques qui étaient seins contre seins et chatte contre chatte, ruisselantes de mouille et pleines d’amour l’une pour l’autre.
    
    Quand notre ami prêtre est arrivé, nous l’avons immédiatement dépouillé de sa soutane noire sous laquelle il était nu, comme à son habitude – c’était afin de pouvoir copuler rapidement avec les paroissiennes, entre deux portes, à l’insu de leurs maris quotidiennement cocufiés par l’homme d’Église. Je voyais bien que ma mère lui plaisait beaucoup. Il bandait comme mon père et moi. Nous arborions tous de belles érections pour la femme que nous nous apprêtions à nous partager.
    
    Maman s’est accusée de s’adonner au péché de fornication avec une constante complaisance, ce qui, à vrai dire, était absolument exact. Alors elle voulait expier dans sa chair et le prêtre, prévoyant, a sorti une petite cravache de la mallette dont il ne se séparait jamais. Il maniait l’instrument de main de maître, habitué à traquer, partout où il allait, le mal sur le derrière des femmes, car celles-ci étaient nombreuses à lui demander ce pieux service. À croire que par un diabolique effet du désir féminin, la douleur qu’elles recevaient se transformait en plaisir, et qu’elles appréciaient sentir leurs fesses devenir toutes rouges sous l’effet de la flagellation. Effectivement… surtout qu’il avait l’habitude de les enculer, à la fin, pendant qu’elles récitaient des ...
    ... prières afin que Dieu leur pardonne leurs fautes. Ma mère n’était pas la dernière à bénéficier de cette façon d’administrer le sacrement du pardon. La veille de Pâques, en attendant leur tour pendant des heures et tout en papotant, les femmes faisaient la queue, avant de recevoir finalement celle-ci dans leur derrière, et de repartir toutes contentes d’avoir reçu la rédemption virile par le trou de Sodome.
    
    Docilement donc, ma mère a relevé sa robe, abaissé sa culotte blanche – elle aimait, à l’occasion, s’habiller façon « petite fille sage en apparence, mais très coquine » -, puis s’est mise à genoux, face contre le sol, attendant d’être fustigée avec toute la sévérité qu’elle savait mériter. Le prêtre prenait son temps avant de procéder à la correction, car il savait que la douleur imminente que l’on attend est plus amère que celle qui est au présent. Pour patienter, elle bécotait les orteils délicats des quatre pieds d’Adrienne et de Laetitia. Les deux gougnottes, toujours entièrement nues, se partageaient face à face un double godemiché qui pénétrait en même temps leurs petites chattes. Papa regardait la scène en se branlant tranquillement, juste pour ne pas perdre son érection : habitude d’acteur porno.
    
    Quant à moi, je filmais avec la caméra de ma sœur, avec des gros plans sur la belle croupe rose d’où dépassaient, en dessous, les poils bruns de la chatte. Je l’aurais bien pénétrée sans crier gare, mais un autre programme était prévu et je ne tenais pas à ce qu’un curé ...