Affaire de famille (1)
Datte: 23/04/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: CatStel, Source: Xstory
... n’est pas tout à fait fini, répondit Ophélie. Justin, tu peux venir.
Justin, la verge à la main, sortit de la cachette qui lui avait permis de profiter du spectacle. Il s’approcha de sa belle-mère et, sans lui laisser le temps de réagir, lui enfonça son sexe dans la bouche. Il commença à donner de grands coups de reins faisant taper ses boules sur le menton déjà maculé de sperme de sa belle-mère.
— Justin, mon fils, s’il te plaît... Laisse la tranquille.
— Elle aime la bite cette cochonne ! Je lui donne de la bite... Depuis le temps qu’elle m’excite.
Il lui fonça la gorge un petit moment puis sortit de la bouche de Clémence. Elle subissait, hagarde, le traitement que lui infligeait son beau-fils. Ne lui laissant aucun repos, Justin fit se mettre à quatre pattes Clémence et se mit derrière elle.
— Depuis le temps que je rêve de ce cul !
— Prends-le, elle ne dira rien, lui dit amusée Ophélie.
Joignant le geste à la parole, Justin dirigea son sexe tendu et couvert de bave vers le petit trou de sa belle-mère. D’un geste brutal et rageur, il sodomisa d’un coup sec Clémence qui hurla. L’agrippant d’une main par les cheveux et de l’autre par les hanches, il se mit à l’enculer bestialement. Clémence hurlait à chaque coup de butoir. Ces cris galvanisaient Justin. Il la sodomisa de longues minutes. Ophélie crut ...
... même un moment qu’il n’allait pas finir. Mais il finit par se retirer.
Par les cheveux, il redressa Clémence et lui fourra de nouveau sa verge salie dans la bouche. Il lui besogna la gorge de nouveau. Il finit par la coller contre lui ne lui laissant plus d’espace pour respirer. C’est alors qu’il jouit, se déversant dans la gorge de sa belle-mère. Les yeux grands ouverts et presque révulsés, Clémence avala tout le sperme de son beau-fils. Lorsqu’il eut fini, Justin se retira et tapota la joue de Clémence comme pour la féliciter. Puis il se rhabilla se retourna dans sa chambre.
— Je peux aller me laver maintenant ?, demanda Clémence.
— A l’heure qu’il est, il est grand temps pour toi d’aller au lit, lui répondit Ophélie.
— Mais je ne peux pas aller au lit comme ça.
— Bien sûr que si, ricana la jeune fille.
Alors que Clémence, les orifices endoloris et salie montait dans la chambre, Ophélie défit les liens de son père.
— Tu devrais avoir honte de ce que tu as fait, lui dit Cyril.
— Pas du tout... Je sais que ça t’a fait de l’effet. Monte et baise ta femme. Elle n’espère que ça.
Cyril finit par monter dans la chambre. En y rentrant, il vit sa femme, à quatre pattes sur le lit.
— Baise-moi !
Et Cyril ne se fit pas prier pour faire jouir une nouvelle fois la salope perverse qui lui servait d’épouse.