1. Affaire de famille (1)


    Datte: 23/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: CatStel, Source: Xstory

    Clémence avait épousé Cyril quelques années plus tôt. Dans ses bagages, Cyril avait emmené Ophélie et Justin, ses enfants d’un premier lit. La famille recomposée vivait des jours heureux. Mais les années commençaient à s’accumuler. Et malgré la jeunesse et la beauté de Clémence, Cyril avait de plus en plus de mal à assumer son rôle de mari dans la chambre. Dans le même temps, Ophélie se faisait de plus en plus femme et attirait les garçons. Il n’en fallait pas plus pour que Clémence commence à jalouser sa belle-fille. Cette dernière s’en aperçut très vite. Tous les efforts de Cyril pour que sa femme et sa fille s’entendent semblaient vains...
    
    Jusqu’à cette fameuse soirée...
    
    — Ophélie ! Il y a quelqu’un pour toi, hurla Clémence à la porte.
    
    — J’arrive.
    
    A la porte l’attendaient deux de ses ‘amis’. Clémence savait pertinemment pourquoi ils étaient là et quelle fin de soirée ils espéraient.
    
    — Alors, ce soir, c’est eux qui vont te sauter ?, grommela Clémence.
    
    — Sûrement, répondit-elle enjouée.
    
    — T’es vraiment qu’une...
    
    — Ce n’est pas de ma faute à moi si papa n’arrive plus à avoir envie de ça, lança Ophélie avec un regard dédaigneux pour sa belle-mère.
    
    Puis Ophélie sortit avec les deux garçons alors que Clémence retournait à son désespoir de femme délaissée.
    
    Moins d’une heure plus tard, la porte s’ouvrit à nouveau. Ophélie rentrait bien tôt ce soir. Mais elle semblait accompagnée. Clémence dévala les escaliers pour aller à la rencontre de la jeune ...
    ... fille et lui dire sa façon de penser. Elle fut arrêtée net par ce qu’elle vit. Ophélie était accompagnée de trois garçons.
    
    — Je n’ai pas été très sympa avec toi tout à l’heure, lui dit Ophélie.
    
    — Comme d’habitude, répondit Clémence.
    
    — Oui, mais je me suis rendu compte que... tu... ne mérites pas ça.
    
    — C’est gentil de ta part, si tu le penses vraiment.
    
    — Je le pense et je ne suis pas la seule. Les gars, vous pensez que c’est normal de ne pas bander pour elle ?, demanda-t-elle aux garçons.
    
    — Non, O. Elle est bonne ta belle-mère, répondit un des garçons.
    
    Clémence se rendit alors compte qu’elle était descendue de la chambre en ne portant sur elle que sa nuisette. Soudainement, elle se sentit nue... terriblement nue devant les yeux pervers qui la fixaient.
    
    — Allez chercher mon père. Il faut qu’il voie la suite.
    
    Les garçons montèrent l’escalier à toute vitesse. Ils redescendirent quelques minutes plus tard avec Cyril, à peine éveillé et bien hébété. Ils l’installèrent sur une chaise à laquelle ils le ficelèrent.
    
    — Papa, tu ne t’occupes plus de ta femme comme il faut. Je sais que tu n’es plus de première jeunesse donc tu n’y es pour rien. Mais, parce que je t’aime, mon petit papa, je veux t’aider.
    
    — En faisant brutaliser ma femme ?, questionna hargneux Cyril.
    
    — Non, si elle ne veut pas, il ne se passera rien. Et si tu es capable de t’occuper d’elle, on vous laisse... Alors ?...
    
    Cyril baissa les yeux, conscient de son incapacité. Ophélie fit alors ...
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