Injustice
Datte: 23/04/2020,
Catégories:
fh,
fbi,
frousses,
inconnu,
grosseins,
vengeance,
Oral
préservati,
pénétratio,
piquepince,
Humour
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... plutôt mignon et l’idée de vous laisser vous occuper de mes secrets intimes pendant que je découvre vos secrets virtuels me tente. Mais si vous n’aimez pas les petits seins, c’est à vous de voir.
— Oh non, bien au contraire, les gros seins comme ceux de la juge c’est juste pour regarder. Question caresses, je préfère de loin les petits modèles.
— Flatteur, va. Je peux venir maintenant ?
— Déjà ? Mais vous ne travaillez plus ?
— Si je donne un rendez-vous coquin à la juge ce soir, elle me laissera filer pour me préparer. Elle apprécie un minimum de mise en scène… Vous êtes partant ?
— Je vous attends.
— Mais alors tout l’ordinateur, hein, absolument tout…
— Je, euh…, bon d’accord, promis…
Il ne lui faut pas plus de huit minutes pour arriver en bas de chez moi au guidon d’un chopper Yamaha. Elle se gare juste à côté de l’entrée, enlève son casque à la hâte et monte l’escalier en courant. J’ouvre avant qu’elle sonne pour lui montrer ma bonne volonté. Elle se jette presque contre moi, et m’embrasse fougueusement dans le cou.
— Raah ! c’est trop bon, je savais que ce serait trop bon, j’en ai rêvé tout le temps de l’interrogatoire. Ta peau est si douce, juste là…
Et la voilà repartie pour un tour de baisers humides, accompagnés de caresses sur mon torse, effleurant comme par inadvertance mes tétons déjà prodigieusement énervés. En une poignée de secondes, ce petit volcan met le feu en moi, ma queue se tend dans mon pantalon, j’ai envie de la saisir aux hanches, ...
... de la culbuter sur le tapis du salon et de m’enfoncer en elle d’un coup. Pour commencer. Est-ce un reste de bonne éducation, ou une inhibition due aux fonctions qu’elle exerce au Palais de Justice, je n’en fais pourtant rien et reste complètement passif sous ses câlins.
— Fin de la récréation, dit-elle soudain en se détachant d’un mouvement de la taille, on est là pour s’occuper de l’ordinateur.
— Dans mon bureau…
Elle lance son blouson sur une chaise et entre d’un pas assuré dans la pièce à côté. Après une courte pause face à la table de travail où trône l’objet de sa convoitise, elle s’approche, passe lentement ses mains sur l’écran, les glisse sur le clavier, descend presque sensuellement jusqu’à la console. Juste avant de presser le bouton d’allumage, elle tourne un visage radieux vers moi.
— Il est froid. Tu ne l’as pas touché avant que j’arrive ? Tu me le laisses découvrir ?
— J’ai pensé que c’était ce que tu voulais, non ?
— Ça me fait un effet terrible de pouvoir allumer un ordinateur inconnu, tu ne peux pas imaginer, dit-elle des étoiles plein les yeux.
— Tout le plaisir est pour moi…
— Non, non, je ne plaisante pas, viens mettre ta main sur mon cœur, tu verras comme il bat fort.
Je m’approche, intimidé. Elle s’empare de ma main, la pose sur son sein gauche et la presse contre elle. À l’instant même, la petite musique d’ouverture de Windows sort des haut-parleurs latéraux. Elle frissonne. À vrai dire, je ne suis pas sûr de ce qui lui fait le plus ...