Injustice
Datte: 23/04/2020,
Catégories:
fh,
fbi,
frousses,
inconnu,
grosseins,
vengeance,
Oral
préservati,
pénétratio,
piquepince,
Humour
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... bassesses pour pouvoir fouiner dans un ordinateur perso. Alors elle se dit qu’en m’offrant un disque dur à inventorier, non seulement je pourrais mettre la main sur des preuves contre vous dans votre histoire de comptabilité, mais que je lui renverrai l’ascenseur à la prochaine occasion. Son trip, c’est de me mater pendant que je fouille les ordinateurs. Ça l’excite tellement qu’elle ne peut se retenir de me sauter dessus comme une tigresse en chaleur. Vous pigez ?
— Et vous marchez dans cette combine ?
— Comme si j’avais le choix ! C’est ça ou le chômage. Et puis, ce n’est pas si désagréable. Moi aussi j’aime les gros nichons. Les siens sont fermes. Très fermes et délicieusement doux. Un régal quand elle glisse ses pointes durcies entre mes lèvres, juste avant de s’emparer de mon bouton et de le sucer jusqu’à ce que je crie grâce. Elle adore m’entendre crier grâce, madame la juge…
— Et je fais quoi dans cette galère, moi ?
La juge revient avant que je puisse entendre la réponse de la greffière. Elle reprend un interrogatoire serré, qui permet bel et bien d’amener la conversation du côté de ma vie privée. Je me défends comme je peux, et me retiens de regarder plus bas que la ligne de ses yeux, mais je sens que je perds la donne. Heureusement pour moi, elle me congédie sans avoir pris de décision trop lourde de conséquences. Ce n’est toutefois que partie remise, le répit pourrait être de courte durée. Je jette un coup d’œil désespéré à la greffière en sortant. Elle ...
... garde le nez plongé dans ses dossiers. Dieu que je me sens seul en quittant le Palais de Justice.
Je me dis qu’il vaut mieux que je file chez moi, contrôler le contenu de mon ordinateur. On ne sait jamais, il y a peut-être un recoin où j’ai laissé traîner quelque chose de douteux. Les gouines ont sûrement peu de compréhension pour la sensibilité artistique d’un quadra hétéro, très séparé de sa femme.
Mon portable sonne avant même que j’arrive chez moi. C’est la belle en question.
— Surtout ne commettez pas cette folie…
— Quelle folie ?
— D’aller chez vous nettoyer votre ordinateur.
— Je vais me gêner. Je ne suis ni prévenu, ni accusé, donc je fais ce qui me plaît !
— Sauf que tout geste informatique laisse des traces dans le disque dur. Si on découvre que vous avez ouvert votre ordinateur et vidé des dossiers sitôt après votre audition, vous êtes bon pour l’échafaud.
Comme elle y va, la flamboyante ! Le col de ma chemise commence à me serrer un peu à cette éventualité. Pas de doute, je suis fait comme un rat.
— J’imagine que vous ne prenez pas le risque de m’appeler depuis votre lieu de travail sans bonne raison ?
— Disons que si vous voulez bien rester discret, je peux vous proposer un marché.
— À savoir ?
— Vous me laissez visiter votre ordinateur à ma guise et je retiens la juge d’y mettre le nez. Pour une fois que je prendrais l’initiative avec elle, elle va me tomber dans la main comme une figue mûre.
— Et vous feriez ça pour quoi ?
— Je vous trouve ...