1. La fille de Bonn


    Datte: 22/04/2020, Catégories: fh, hh, hbi, couple, piscine, sauna, massage, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... autres sens. Le toucher en excitant leur pointe avec tes mains. Le goût, ta bouche et ta langue devant déguster la peau. L’odorat pour goûter leur fragrance. Et enfin l’ouïe pour écouter les battements de mon cœur et les soupirs qui s’échapperont de mes lèvres.
    — Oh oui. Je veux les caresser, les cajoler, les embrasser et te faire du bien avec tous mes sens.
    — Pourquoi ne me l’avoir pas demandé tout de suite ? dit-elle d’un air mutin.
    
    Elle dégrafa son soutien-gorge, libérant ses deux admirables petits globes. Même si elle n’avait pas une poitrine exagérément développée, elle ne ressemblait en rien à celles de ces mannequins filiformes. Je pouvais prendre ses appâts en main, en sentir les rondeurs. Je trouvais ses deux nénés admirables et dignes de mes plus douces attentions, d’autant plus que leur pointe était déjà érigée. Je pris donc ses deux seins dans mes mains, les malaxai doucement avant de les porter à ma bouche. Je les sentis durcir alors même que la respiration d’Alexandra se fit plus rapide. Durant mes attouchements, elle ne resta pas inactive, s’employant à me déshabiller, enlevant tout d’abord ma chemise, puis déboutonnant mon pantalon et le baissant. Elle extirpa ainsi mon sexe du caleçon, le prit en main et commença à le branler tout doucement, presque imperceptiblement.
    
    — Je ne l’avais vue que de loin, mais j’avais apprécié ta tige, l’autre jour.
    — Et de près, qu’en penses-tu ?
    — Je garde l’avis que je m’étais fait : qu’elle est appétissante. Elle ...
    ... est toute chaude et très réactive. Pourvu que tu saches bien t’en servir.
    — Je vais tout faire pour ma chérie.
    — C’est pour la belle masseuse que tu bandais ou pour moi, dans le centre ?
    — Pour toi, ma chérie. J’aurais tant voulu être à la place de celle qui te massait, qui te caressait le corps de toute part.
    — Eh bien vas-y, tu es en bonne place maintenant. Tu peux même y mettre la bouche, ce qu’elle ne faisait pas.
    
    Je lui ôtai sa jupe, caressai sa croupe, fis descendre son string et, une main sur ses fesses, l’autre sur sa toison, je la caressai. Elle m’échappa en glissant le long de mon corps, telle une couleuvre :
    
    — Attends, dit-elle en éclatant de rire, je commence.
    
    Se mettant à genoux entre mes jambes, elle entreprit de me faire une fellation tout en douceur. Il n’y avait ni précipitation, ni gêne, ni timidité, ni pudeur ; seulement une assurance dans le geste et dans les succions opérées par sa bouche. Malgré cette connaissance dans l’art de la fellation, elle ne montrait en la chose aucune routine fastidieuse ni contrainte. Elle n’était pas blasée de sucer ma queue qui n’était pas la première. Elle le faisait avec sensualité et attention.
    
    Je la regardais faire, plongeant mes mains dans la toison brune de ses cheveux tandis qu’elle s’agrippait à mes hanches. Lorsqu’elle lâcha ma queue, elle se colla à moi, nos épidermes se frôlant, et m’embrassa voracement. Nous nous retrouvâmes en 69, ma bouche collée à son sexe, et la sienne enfournant ma tige. Je ...
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