1. La fille de Bonn


    Datte: 22/04/2020, Catégories: fh, hh, hbi, couple, piscine, sauna, massage, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... C’est là qu’elles heurtèrent à plusieurs reprises, mais sans brutalité, mon gland. Puis, les paumes enduites d’huile coururent sur mes jambes, remontant des pieds jusqu’à l’aine, n’hésitant pas à effleurer mes testicules et même, à déplacer ma verge du bout des doigts lorsque cela était nécessaire. Ces mouvements ne pouvaient assurément pas me laisser de glace.
    
    Après une dernière douche, j’invitai Alexandra à prendre un verre. Ce qu’elle accepta. Après avoir discuté avec elle, je sentis que j’appréciais beaucoup cette jeune femme : sa beauté m’attirait naturellement, mais en plus j’aimais converser avec elle, partageant ses opinions et ses centres d’intérêt.
    
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    Comme elle m’avait laissé son numéro de téléphone, je l’appelai le lendemain pour lui proposer de dîner samedi soir. Encore une fois elle accepta avec joie.
    
    Après le repas, je la raccompagnai chez elle. Je pensais la quitter en bas de son immeuble, mais elle m’attira dans son appartement, ferma la porte derrière nous et m’embrassa fougueusement sur la bouche.
    
    Puis s’étant détachée de moi elle me dit :
    
    — J’en avais envie.
    — Moi aussi, dis-je.
    
    Je repris ses lèvres et nos langues se mêlèrent. Nous nous embrassâmes ainsi longuement, nous caressant à travers nos vêtements comme des adolescents, sans chercher rien d’autre, que ressentir une sensualité à la fois brûlante et chaste.
    
    Cela ne dura pas, car bientôt mes mains se sont égarées sous son tee-shirt. Elle ne fit rien pour ...
    ... m’empêcher de caresser son ventre et de remonter vers ses seins. Bien au contraire, elle me facilita les choses en ôtant son vêtement. Elle portait un ravissant soutien-gorge blanc en dentelle. Je dessinai du bout des doigts sa poitrine au-dessus de l’étoffe à demi transparente qui laissait voir la partie supérieure de son mamelon brun. Comme je paraissais fasciné par la rondeur exquise de sa poitrine, elle s’amusa en me disant :
    
    — Tu les as pourtant vus l’autre jour.
    — Oui, ma chérie.
    — Ils t’ont plu ?
    — Tu as une très jolie poitrine au galbe parfait.
    — Je les trouve un peu petits.
    — Non, ils sont parfaits. Ni trop lourds, ni pas assez formés. Non, ils sont parfaits. Tiens, ils tiennent parfaitement dans mes mains. Si au toucher ils sont aussi agréables qu’au regard, ce serait une merveille.
    
    Alexandra se mit à réciter une adaptation d’une fable de La Fontaine :
    
    — Sache que ce ne sont pas de basses flatteries : c’est véritablement le fond de mon cœur. Je ne souhaite pas à vivre « aux dépens de celui qui l’écoute ».
    — Le discours vaut bien un dévoilement, reprit Alexandra. Tu veux donc les peloter, mes nénés, sans être importuné par le tissu. Tu n’aimes pas les dentelles qui les couvrent ?
    — L’écrin est délicieux ; mais que serait-il s’il ne renfermait un trésor inestimable ?
    — Je dois donc ouvrir l’écrin et te montrer ce trésor. D’accord, mais à une seule condition.
    — Laquelle ?
    — Que tu ne te contentes pas de les regarder, mais que tu utilises également tes ...
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