1. La fille de Bonn


    Datte: 22/04/2020, Catégories: fh, hh, hbi, couple, piscine, sauna, massage, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... avions abandonné l’utilisation des préservatifs après avoir fait des tests). Tous les muscles de ma compagne se contractèrent et elle poussa un rugissement alors que je déversais mon jus. C’était un coït extraordinaire où nous avions pris chacun autant de plaisir.
    
    — Ce qui est merveilleux avec toi, lui dis-je lorsque j’eus dégagé ma queue pantelante et maculée de sperme et de mouille de son sexe et que j’eus repris mon souffle, c’est que chaque rapport apporte son lot de jouissances.
    — Merci, mon amour ; tu y es pour beaucoup, car tu es le seul homme avec qui j’ai un ou des orgasmes à chaque fois. C’est que du bonheur d’être avec toi, que de faire l’amour avec toi. J’ai toujours beaucoup aimé faire l’amour, mais avec un garçon à la fois vigoureux et attentif à la fille, c’est vraiment beaucoup mieux.
    
    Je caressai l’un de ses seins sans rien dire, me laissant seulement porter par la grâce de l’instant. Je sentis sa douce main se poser sur mon sexe totalement inerte pour l’instant. Elle vint positionner sa tête près de lui et s’amusa à se caresser les joues, le front, les paupières et les lèvres avec le bout de mon gland. Elle me lança un regard plein d’espièglerie en disant :
    
    — Il est tout dégoûtant, ton zob, mon chéri.
    — Pourquoi « dégoûtant » ? C’est notre jouissance qui s’est déposée sur lui.
    — Tu as raison. Alors je vais le nettoyer.
    
    Elle s’employa à laper ma verge comme si elle désirait la nettoyer de sa cyprine et de mon sperme. Tout en continuant sont ...
    ... ouvrage, elle me dit :
    
    — Tu baises souvent avec Gérard ?
    
    Je restai totalement interdit devant cette magnifique jeune femme sublime dans sa nudité absolue, dénuée de toute pudeur et de tabous en cet instant où elle prodiguait une agréable caresse à ma virilité. Elle paraissait si fière et sûre d’elle-même, à la fois farfadette et pondérée. Comment avait-elle pu percer mon secret sans que je ne lui en dise un seul mot ? Contente de l’effet qu’elle venait de produire, elle enfonça encore un peu plus le clou en ajoutant :
    
    — Ne nie pas, sinon tu vas devenir comme Pinocchio avec le nez qui allonge… à moins que ce ne soit autre chose qui s’allonge, et dans ce cas je ne t’en blâmerai pas.
    
    Ma queue ne pouvait que réagir sous ses coups de langue.
    
    — Comment as-tu su ?
    — Il n’est pas difficile de deviner que vous êtes amants lorsqu’on vous regarde. Vos yeux trahissent votre amour.
    
    Elle quitta ma queue et vint se blottir tout contre moi, son corps au contact du mien ; je sentais la rondeur de ses seins contre mon torse. Elle continua :
    
    — Mais c’est un peu étrange. Normalement, j’aurais dû ne pas exister. Une fille dans un couple d’homos, c’est comme un chien dans un jeu de quilles ou un éléphant dans un magasin de porcelaines. Or, c’est tout le contraire.
    — Comment ça ? Qu’as-tu ressenti ?
    — Je n’avais pas l’impression de tenir la chandelle. Une chose ne colle pas non plus : comment peux-tu aussi bien faire l’amour à une femme, à y prendre plaisir même, tout en étant ...
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