La descente aux enfers d'une veuve (1)
Datte: 22/04/2020,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: chloe23, Source: Xstory
... tenu de la température, elle avait mis seulement une robe blouse sur ses sages sous vêtements Playtex, mais n’avait pas renoncé à ses collants.
Contrairement au vendredi précédent, sa première heure de travail se passa normalement. Sa patronne lui avait demandé de faire le ménage et les poussières du séjour et, dès qu’elle aurait fini, de s’attaquer au repassage. Annie pensait que sa réaction avait convaincu Clotilde de renoncer à ses avances lubriques... Erreur ! Bientôt, elle l’entendit appeler :
— Nini !... Nini, viens sur la terrasse, j’ai besoin de toi !
Elle trouva sa patronne étendue sur le ventre, en train de bronzer sur un bain-de-soleil garni de coussins. Elle était en string, un string minuscule dont la ficelle disparaissait entre ses fesses.
— Nini, s’il te plaît, prend le flacon d’huile solaire sur le rebord de la porte-fenêtre, et vient m’en mettre sur le dos.
— Tout de suite, Madame Clotilde, répondit-elle, soudain inquiète de la suite des évènements.
Annie s’exécuta. Elle prit le flacon, versa un peu de liquide ambré dans sa main, et commença à masser les épaules de sa patronne. Elle étala consciencieusement l’huile sur tout le haut du dos de Clotilde, descendit au creux de ses reins, s’étonnant malgré elle de la fermeté de ce corps mature. Sous le massage d’Annie, sa patronne poussait de petits soupirs de plaisir, ce qui la mettait mal à l’aise.
— Tu as des mains de fée, Nini, la complimenta-t-elle. Douces et pleines de sensualité. On te ...
... l’a déjà dit ?
— Non, Madame Clotilde. Je n’ai jamais passé de crème solaire à personne, à part à ma fille quand elle était petite.
— C’est dommage, tu es douée. Continue, ajouta-t-elle, en dénouant les liens de son string.
— Mais... Je ne peux pas faire ça, Madame Clotilde ! Je ne vais pas mettre de l’huile sur vos fesses...
— Pourquoi pas ? Tu sais ce que c’est qu’un corps de femme, dit-elle en riant, et en posant la main de son employée sur ses fesses.
Annie sentit sous ses doigts les globes ronds et bronzés du petit cul de Clotilde, et éprouva de la tristesse en pensant au sien. Mais, de toute façon, elle n’espérait rien de ce côté-là. Avec des gestes hésitants, elle étala l’huile solaire.
— Allons, mieux que ça !, la morigéna sa patronne. Et mets-en aussi sur mes cuisses.
D’un geste brusque, elle se débarrassa de son string, prit la main d’Annie, et la dirigea vers le haut de ses cuisses, en les écartant un peu.
— Oh, Madame Clotilde, s’indigna Annie.
Sa patronne maintenait sa main et, malgré elle, elle massa ses fesses et ses cuisses. Ses doigts effleurèrent la vulve de la belle et perverse bourgeoise, recueillant bien involontairement quelques gouttes de cyprine qui perlaient.
Clotilde se rendait compte qu’elle n’arriverait pas à ses fins de cette façon, mais elle entendait bien ne pas en rester là, et parvenir d’une manière ou d’une autre à soumettre Annie à ses désirs.
Elle la laissa retirer sa main, et l’invita à s’asseoir quelques ...