Garçons du Hoggar
Datte: 22/04/2020,
Catégories:
hh,
jeunes,
couleurs,
hépilé,
vacances,
vidéox,
photofilm,
massage,
Oral
confession,
Gay
nature,
Auteur: Mario, Source: Revebebe
... et mes cheveux. En fait tout va très vite et je n’ai pas envie d’un long échange de signes pour lui dire que je ne serais pas opposé à ce que de petites gifles viennent remplacer les caresses.
Plus décontracté maintenant, j’arrive à prendre les trois quart de son sexe dans la bouche. Et chaque fois que je fais un effort de plus pour accepter encore un peu plus profond son pénis, Abdou gémit un cran plus fort, pour me dire qu’il apprécie et que ça lui fait encore plus d’effet. Je sens bien les contractions de sa queue dans ma main et me dis qu’il ne va pas tarder à éjaculer, aussi je ralentis mon mouvement en m’attardant délicatement sur la surface de son gland avec la langue, tout en regardant Abdou dans les yeux.
Qu’est-ce que j’ai envie de l’embrasser à ce moment ! Les mains d’Abdou ne sont pas restées inactives. Il a rapidement baissé mon short aussi bas qu’il pouvait, c’est-à-dire vers les genoux, le slip est descendu avec. Ses mains malaxent mes fesses et s’attardent parfois sur mon anus, mais rapidement ; comme si quelque chose le stoppait encore d’aller plus loin si vite.
En ondulant des fesses ostensiblement, tout en le regardant au fond des yeux, je lui indique que ses caresses me plaisent plus qu’il ne peut l’imaginer. Ma main vient toutefois saisir l’une des siennes pour l’amener sur mon propre sexe qui a atteint le format XL au niveau raideur. Je suis tellement excité par son contact viril que l’instant d’après j’ai un violent orgasme. Alors que je n’ai ...
... pas fini d’éjaculer complètement, je reprends de longs et rapides va-et-vient avec son sexe dans ma bouche.
Lui aussi agrippe alors mes cheveux comme s’il voulait en arracher une touffe et ne tarde pas à cracher d’épais jets de sperme avec lesquels je manque de m’étouffer. C’est comme si ça ne finissait pas. Je ne sais que faire avec tout ce sperme, mais sa main maintenant fermement son sexe dans ma bouche, je n’ai d’autre choix immédiat que déglutir et tout avaler. Il y en a beaucoup. C’est chaud, c’est gluant, c’est bon.
Nous nous retrouvons l’un à côté de l’autre, de nouveau assis contre un monticule de terre et de roches, la respiration encore agitée, tentant de récupérer un rythme normal. Ses joues sont toutes rouges. J’imagine qu’il en va de même pour moi. On se sourit l’un l’autre. Une voix l’appelle de loin :
— Abdou ! Abdou !
Il se lève rapidement, se retourne vers moi et commence avec force gestes de la main à me dire quelque chose. Et de nouveau, la signification est limpide : « Ce week-end à Tam avec mes potes, on aura une voiture, tu viendras avec nous ? Et tu amèneras ton i-phone, hein, t’oublies surtout pas… »
Pouce en l’air en inclinant de la tête, je lui réponds sans bruit que pour moi c’est good ! L’instant d’après il a disparu.
Tout a été si vite. Je ferme les yeux en repensant à ce qui vient de se passer.
J’entends un léger bruit. J’ouvre les yeux à nouveau. Gauthier le félin est là qui me regarde d’un air ironique.
— Alors c’était ...