1. Garçons du Hoggar


    Datte: 22/04/2020, Catégories: hh, jeunes, couleurs, hépilé, vacances, vidéox, photofilm, massage, Oral confession, Gay nature, Auteur: Mario, Source: Revebebe

    Mon paternel a décidé qu’il y en avait marre du pétard et des soirées trop arrosées, et à l’occasion des vacances de mi-février, il m’a envoyé en Algérie pour un trek de quinze jours. J’ai eu beau renâcler en parlant bac, révisions, ça l’a fait marrer et comme d’hab’, il ne fallait pas discuter.
    
    — Quinze jours avec du sable, des chameaux et même pas beaucoup d’eau, ça devrait te requinquer. Tu verras comme ce sera plus facile pour le bac, après !
    
    Il n’avait pas tout à fait tort. Cela fait quatre jours que nous marchons. Et c’est cool. On marche cinq à six heures par jour, selon. Au début un peu duraille. Maintenant j’ai pris le rythme. Dans trois jours, on retourne à Tamanrasset pour le week-end, et puis on enchaîne avec une autre boucle.
    
    Nous sommes un groupe de huit personnes. Trois couples et un autre garçon seul. Vingt-deux ans. Il s’appelle Gauthier, il est discret par rapport aux autres, un peu renfermé, quoi, mais sympa. Un véritable félin, quand il marche on ne l’entend pas. La nuit quand je ne m’y attends pas, il me fout la frousse. Évidemment on partage la même tente tous les deux.
    
    Le premier soir, il a voulu coucher à la belle étoile. Comme les nuits sont fraîches, il était à moitié gelé et vers deux heures du matin, il est revenu sous la tente. C’est un enfant adopté. Il vient du Cambodge et habite Paris. Comme moi il a fait du scoutisme et retrouver la toile de tente lui plaît bien. On dort nus tous les deux.
    
    Le premier soir, on était tellement ...
    ... crevés que ça ne m’a vraiment fait aucun effet, je le jure. À lui non plus d’ailleurs. Le second soir, c’était différent. Quand on a eu fini de monter la tente, vu qu’on ne pouvait pas prendre de douche, parce que bien entendu il n’y a pas d’eau ou presque pas pour se laver, on s’est retrouvés allongés sur nos duvets à comparer nos douleurs de dos.
    
    Gauthier s’est déshabillé, enfin il s’est mis en caleçon, et j’ai vu alors un garçon vraiment beau, au corps basané totalement imberbe, les pectoraux assez bien dessinés, avec des tétons étonnement gros, comme ceux des nanas, qui lui sortaient de la poitrine d’au moins un demi-centimètre. J’étais captivé et il s’en est rendu compte, il a fait jouer l’un des tétons avec le doigt et m’a adressé un sourire entendu.
    
    — Tu pourrais, s’il te plaît, me passer de l’huile d’arnica dans le dos, m’a-t-il demandé, en général ça me fait passer la douleur.
    — Pas de problème, lui ai-je répondu, tu m’en passeras après ?
    — Bien sûr.
    
    Sans façon, je me suis également mis en caleçon. Il m’a tendu le flacon, j’ai mis une belle rasade sur son dos. Le contact un peu plus froid l’a fait réagir ; ça nous a fait rire. Je l’ai traité de mauviette et lui ai mis une tape sur la fesse. Puis je me suis mis sur lui. Dès le début, à sa façon de réagir à mon massage, j’ai vu qu’on avait sans doute autre chose en commun que les douleurs lombaires. Mais comme chaque fois que je me suis retrouvé devant un garçon en étant presque totalement sûr de ses goûts ...
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