Police polissonne (52) - Histoires de Sexe

Police polissonne (52)

... pas que lécher le phallus qu’elle tient entre ses doigts et fait glisser la peau du prépuce, après s’être amusée à le caresser ; elle l’embouche d’un coup. Puis elle le fait coulisser entre ses lèvres et lui massant les testicules avec délicatesse ; il sent monter en lui ces poussées d’adrénalines qu’il n’a quasiment jamais connu. Mais les choses vont plus vite que prévu et il lui éjacule d’un coup au fond de sa gorge. Surprise, elle a un léger mouvement de recul, lève des yeux étonnés vers lui, et avale en enfonçant le sexe de Julien tout au fond de sa gorge. Après s’être délecté de la semence chaude et gluante, elle s’adresse à lui.

— Eh bien, tu es un rapide dans ton genre…

— Euh ... , excuse-moi, je n’ai pas pu me contrôler.

— Ce n’est pas grave, et je ne sais pas si c’est l’apéro ; mais ton sperme a un petit goût sympa.

— À bon ?

— Bah oui, tu ne sais pas que le sperme peut avoir un goût différent en fonction de ce que tu manges ?

— Non.

— Alors tu auras appris quelque chose aujourd’hui. Maintenant c’est à toi de me faire plaisir, dit-elle en s’allongeant sur le dos.

Cette fois, Julien ne perd pas une miette de ce qu’elle lui offre, il n’ose pas la toucher ; la vue de ce corps le fascine, il est comme hypnotisé. Elle l’observe, s’amuse de la situation qui la ramène à sa première fois avec un garçon ; elle avait quinze ans et était toute menue. Elle avait été impressionnée et totalement subjuguée par le corps athlétique du jeune homme pour qui ...

... elle éprouvait des sentiments. Mais là, elle a envie de sentir les caresses de Julien, sentir ses mains aux doigts effilés se promener sur son corps ; son impatience l’oblige à orienter Julien. Elle lui prend les mains et les plaques sur ses seins, il commence par lui palper timidement, le contacte de la poitrine de Sonia dans le creux de ses mains lui procure une sensation extrêmement étrange mais si excitante ; il est aux anges. Puis il se risque et explore tout le corps de Sonia qui le guide rapidement vers sa fente humide, excitée par le jeune homme elle mouille presque comme une fontaine ; est-ce à cause du fait qu’elle est en train de le dépuceler ou bien les caresses ou encore du cuni qu’il est en train de lui faire ; elle n’en sait rien. Toujours est-il qu’elle ressent en elle les signes habituels de l’arrivée d’un orgasme, qui augmente à chaque coup de langue de Julien. Il lape avec la plus grande application le filet de cyprine qu’elle lui offre avec plaisir, il plonge sa langue au plus profond du vagin dégoulinant, ne perd pas une seule goutte de ce jus si doux, aspire tout ce qu’il peut, et découvre le piercing qu’elle porte à son clito ; l’orgasme de Sonia arrive doucement. Elle parle souvent d’envolée de papillons quand l’acte est doux et délicat, quand la langue effleure à peine les bords de sa vulve ; elle sent les lépidoptères se préparer à l’attaque. Encore un coup de langue et ils s’envolent en silence, ils s’éparpillent dans son vagin, touchent les parois et ...