À nous la liberté ! - Histoires de Sexe

À nous la liberté !

... n’est-ce pas ?
— Oui, parfaite.
— Votre cavalière est magnifique. Votre amie, peut-être ?

Ma question le surprend, mais il ne voit aucune malice dans mon regard.

— Non, juste une partenaire de danse.
— Ce soir, les femmes sont les reines avec tous ces cavaliers en uniforme. Nous, les civils, avons bien du mal. Tenez, regardez la femme avec qui je dansais ; eh bien, elle n’a d’yeux que pour vous. Voyez, c’est celle-ci.

Il regarde dans la direction où la femme m’attend. J’ajoute, en me penchant vers son oreille :

— Une bourgeoise comme je les aime. Réservées, mais pour un peu qu’on les chauffe un peu, des partenaires pleines d’initiatives…
— Je suis déjà en main. La petite là-bas est aussi pleine de promesses, répond-il lui aussi à voix basse.
— J’imagine que vous allez bientôt vous éclipser.
— Oh oui, je ne suis pas en service. L’uniforme, c’est juste pour la drague. Comme vous le disiez, cela aide.
— Cela vous choquerait si on vous suivait ?
— Quel intérêt ?
— Eh bien, je pense que je pourrais profiter de votre présence avec votre amie pour inspirer la mienne.
— Une partie à quatre ? Je ne suis pas sûr que ma cavalière soit d’accord.
— Non, juste pour regarder…
— Ah !
— En plus, je suis certain que ma cavalière pourrait vous faire un excellent dessert.

Il me regarde tout en réfléchissant. C’est vrai : qu’a-t-il à perdre ?

— Bon, c’est d’accord. Tu me suis, mais discret, hein ! Et si la fille ne veut pas de votre présence, vous partez. D’accord ...

... ?

Le tutoiement scelle notre accord.

De retour vers ma cavalière, je surveille le couple. Quelques minutes passent, puis ils commencent à bouger alors que le pompier regarde ostensiblement vers nous.

Je prends la femme par la main et je les suis.

— Mais que faites-vous ? dit-elle en résistant.
— Je suis le couple devant. Je pense qu’ils vont s’isoler. Venez, le spectacle devrait être intéressant.

Sa résistance faiblit. J’ajoute :

— Il est d’accord.

L’homme nous entraîne vers une petite porte sur le côté de la caserne. Nous nous glissons derrière eux en refermant doucement. Une suite de couloirs, un escalier, un palier et ils disparaissent par une porte, là encore laissée entrouverte derrière eux.

Comme deux voleurs, nous regardons. C’est une salle de sport. L’homme n’a pas allumé, mais les grandes vitres laissent largement passer assez de lumière pour que nous les voyions un peu plus loin.

Ils sont déjà en train de se déshabiller, faisant concours du plus rapide. La brune gagne, faisant glisser sa culotte alors que l’homme en est toujours au pantalon, la faute à ses lourdes chaussures. Alors que sa verge apparaît au grand jour, elle trouve déjà en face d’elle une bouche pulpeuse habillée de rouge à lèvres d’un rouge vif et brillant. Quelques secondes de bisous mouillés et le sexe se dresse déjà pour être pompé par la femme. C’est une gourmande et elle s’applique. Si elle ne lui fait pas une vraie gorge profonde, elle en prend assez dans sa gorge ...