1. À nous la liberté !


    Datte: 21/04/2020, Catégories: fhh, ffh, 2couples, fplusag, couple, inconnu, sexshop, boitenuit, miroir, Oral Partouze / Groupe hsodo, exercice, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... bourgeoise a-t-elle eu des aventures lesbiennes ? En tout cas, elle n’est pas perturbée par cette demande car Marine semble apprécier.
    
    Moi, je me lève, attrape une capote pour en recouvrir ma bite bien dure et tendue. Elle est le résultat frappant de toute cette situation, bien plus excitante qu’une rencontre de cul programmée.
    
    Charlotte écarte les cuisses dès qu’elle me sent. Je glisse dans une grotte soyeuse et humide, et entreprends aussitôt de la ramoner. Il faut éteindre rapidement l’incendie dans nos trois corps. Nous aurons tout le temps pour d’autres jeux après, plus délicats, plus réfléchis.
    
    Putain que c’est bon ! Elle est ouverte, et ma queue bouge dans un océan de liquide. Le bruit de mon flux et reflux couvre la délicate attaque de la langue dans le minou et sur le bouton.
    
    Je la bourre un long moment, et manifestement le plaisir que je lui procure est reporté sur Marine. Elle a les yeux fermés, toute concentrée sur son plaisir. Je sais que, pour elle, aucune queue d’homme n’est capable de lui procurer cette lente montée de jouissance que lui apportent les caresses d’une femme. Pourtant elle n’est pas la dernière à se faire mettre avec entrain.
    
    Moi, mon plaisir est aussi dans les positions. C’est puéril et rempli de clichés, je sais, mais j’adore prendre un bourgeoise en levrette, cette position qui véhicule tant de fantasmes. Bien sûr que dans les beaux appartements ils sont comme tout le monde, et le sexe est mieux partagé que l’argent. Mais tout ...
    ... de même…
    
    Je fais comprendre à Marine mon envie. Elle va se coucher un peu plus loin ; je retourne la femme qui rampe spontanément vers les cuisses de sa nouvelle maîtresse et replonge à l’envi pour parfaire son œuvre. Moi je suis, et mon dard retrouve le chemin de cette chatte, que je réalise seulement maintenant bien lisse et épilée. La coquine ! Elle nous a bien dit que son mari est en vacances avec les enfants depuis quinze jours, et ce que j’ai vu c’est une chatte et un cul tout propres et sûrement épilés depuis très peu.
    
    Pour qui ces attentions ? Si cela se trouve, elle se fait baiser tous les jours par un amant attitré, ou mieux par des hommes qu’elle drague. Je vais lui demander plus tard, lorsque son con sera brûlé par ma bite qui va la ramoner longuement.
    
    — Enfile-moi par le cul… dit alors une voix qui me sort de ma rêverie.
    
    Putain que c’est bon ! Quoi de plus beau que ces paroles crues et vulgaires dans la bouche d’une femme que vous imaginez « Responsable Marketing », toujours tirée à quatre épingles, avec mari et enfants biens sous tous rapports et pour qui le mot « zut » en public doit être une injure ?
    
    Mieux, cette vulgarité est suivie d’un geste sans équivoque. Des mains qui viennent se saisir de ses fesses pour en ouvrir le sillon et m’offrir une rondelle déjà entrouverte par la traction.
    
    — Allez, vas-y, encule-moi. Pète le fion de la bourgeoise, prends-la à sec ! Elle est ici pour ça.
    
    Vous voyez ! L’autre côté du décor. Je suis certain ...
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