À nous la liberté !
Datte: 21/04/2020,
Catégories:
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Oral
Partouze / Groupe
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Auteur: Viona, Source: Revebebe
... moi. Je peux les pincer, les faire rouler sous ma langue, les étirer pour son plus grand plaisir. Je ne connais pas une femme qui ne soit pas ultrasensible des tétons. Certaines atteignent même la jouissance sans que le sexe soit caressé, uniquement par les seins, merveilles de la nature.
Je n’arrive plus à me retenir. Mes couilles sont gonflées et doivent se vider au risque d’exploser. Un dernier effort. Une dernière contraction de contrôle et, et…
Enfin ma partenaire jouit. Un frisson la parcourt tel un tsunami et ses lèvres laissent échapper un « C’est bon, oui… » qui est la meilleure de mes récompenses. Enfin je libère mes vannes. Un torrent se rue et jaillit pour se déverser dans le triste ballon de latex et aller ensuite se glisser entre peau et membrane. C’est ce gonflement de la crème qui monte, associé à la dilatation de la capote qui signale à la femme que l’homme jouit. Bien sûr, certaines secousses et petits cris accompagnent le mouvement. On n’est pas de bois…
Quelques minutes plus tard, nos coupes à nouveau remplies, tous trois sommes côte à côte sur le canapé. L’homme n’est plus éloigné, il est devenu partenaire à part entière.
Vanessa nous joue maintenant le rôle de la soubrette qui, à genoux devant nous, suce nos sexes relâchés. Elle passe de l’un à l’autre, suçant l’un, branlant l’autre. Bien sûr, ni l’homme ni moi ne pouvons rester insensibles à ses arguments. Pas une parole échangée, juste des regards complices entre lui et moi.
Il bande ...
... dur. Je bande ferme. Nos outils sont prêts pour un deuxième service. C’est elle qui se charge de me mettre une capote. Étrangement, elle fait de même sur la queue de son mari. Pourquoi ?
Je n’ai pas le temps de réfléchir qu’elle s’installe à genoux sur le canapé et m’offre ses fesses. Aucune ambiguïté : c’est son petit trou qu’elle écarte de ses mains. Il ruisselle encore du jus de son homme. Le pénétrer est un jeu d’enfant. Je glisse dans la crème d’amour dont son mari a tapissé les parois et mon ventre heurte ses fesses avec délice. À nouveau elle ondule du bassin. C’est la reine du massage interne.
Rapidement je la bourre, ravi d’enculer ce cul avec ma queue rose qui tranche sur la peau noire. Quelqu’un caresse mes couilles. Un instant, je pense que c’est Vanessa, mais ses deux mains sont bien en appui sur le canapé. C’est le mari qui me palpe, et ma foi, ce n’est pas désagréable. Il agrandit sa zone d’exploration en caressant les fesses. Là aussi, le touché est délicat et agréable, comme lorsque j’enfile une femme et que ses mains se plaquent sur mes fesses pour m’attirer un peu plus.
Sans vraiment m’en rendre compte, je m’immobilise bien au fond du cul pour me concentrer sur ces caresses.
Maintenant, c’est un visage que je sens contre moi, un souffle chaud, une langue qui explore, des lèvres qui cherchent mes bourses, et toujours les mains, ces mains qui écartent mon sillon pour que, oui… pour qu’il vienne me lécher le cul de sa langue que j’imagine dardée et ...