1. À nous la liberté !


    Datte: 21/04/2020, Catégories: fhh, ffh, 2couples, fplusag, couple, inconnu, sexshop, boitenuit, miroir, Oral Partouze / Groupe hsodo, exercice, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... d’autant que dans ses confidences elle m’a parlé d’un vieux mari.
    
    Elle sonne à la porte cochère d’un immeuble Haussmann.
    
    — Oui ? dit une voix d’homme.
    — C’est moi, ouvre.
    
    Ascenseur. Dernier étage. Une seule porte sur le palier. Nouvelle sonnette. Il ouvre. La regarde, me voit.
    
    — Ah !
    
    C’est tout ce qu’il dit en reculant pour nous laisser passer.
    
    — Je te présente Christophe, dit-elle en me montrant ; un ami.
    
    Il me tend la main comme à une connaissance. Je réponds, par automatisme, tout en constatant le saugrenu de cette situation.
    
    Il n’est pas si vieux que cela : la cinquantaine peut-être ; mais c’est vrai que comparé à la jeunesse de Vanessa, elle peut le dire vieux. Il est en peignoir, de soie s’il vous plaît, pantalon coordonné, pieds nus sur le parquet de chêne.
    
    Elle entre dans le salon, s’affale dans le canapé, tape sur le tissu à côté d’elle pour me montrer ma place.
    
    — On a soif. Donne-nous – et, me regardant – du champagne te dirait ?
    
    Je note le tutoiement, mais surtout le ton employé. Le mari ne bronche pas et disparaît pour revenir quelques minutes plus tard, des coupes et une bouteille à la main. Pendant son absence, Vanessa n’est pas restée inactive et s’est emparée de mes lèvres tout en poussant une main aventureuse entre mes cuisses. Lorsqu’il revient, l’homme ne semble pas surpris de retrouver sa femme sur moi.
    
    Je comprends le trip de ce couple. Mari candauliste ou mari soumis, au choix. C’est la première fois que je vais ...
    ... vivre cela et suis impatient de la suite.
    
    Nous buvons, et Vanessa continue de me flatter l’entrecuisse tout en regardant son mari. Celui-ci s’installe dans un fauteuil comme si c’était un grand classique pour lui. Sa femme s’occupe de moi. Veste, chemise, pantalon, slip, tout ne fait que passer rapidement entre ses mains. Elle découvre mon sexe déjà bien raide, excité par cette situation particulière. Comme si elle avait toujours fait ça, elle s’agenouille et m’enfourne sans réticence, verge pourtant chargée des odeurs de la journée.
    
    Le mari n’a d’yeux que pour elle. Il la regarde, amant passif mais heureux de voir sa femme sucer un autre.
    
    Que m’importe. Les rôles ont changé, et c’est bien agréable de se sentir la proie et non pas le chasseur. Il suffit de se laisser faire. Et elle suce bien, bordel ! Ses lèvres roses sont la porte d’un fourreau délicieux, vivant, suçant, léchant, aspirant mon bâton noueux. Sa peau noire tranche sur mon ventre de Parisien qui n’a pas encore profité du soleil. Elle s’active lentement et bruyamment. Nul doute que les bruits de sa bouche qui m’inonde de salive sont destinés au mari qui attend dans son fauteuil, mais dont une main a disparu sous son peignoir. Monsieur doit se branler au spectacle de sa femme pompant un inconnu dans sa propre maison.
    
    Elle se lève, l’appelle.
    
    — Approche. Déshabille-toi.
    
    Il s’exécute, et aussitôt sa verge en érection se montre. Elle s’en saisit, le branle.
    
    — Ça t’excite, hein ? Cochon ! Tu aimes ça, ...
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