Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : l’inconnu du restaurant
Datte: 21/04/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... :
• Retire ta jupe !
Je défis le bouton et le zip arrière, et la fis glisser le long de mes cuisses, passant un pied et l’autre. Je tendis la jupe à Philippe.
• c’est bien, maintenant déboutonnes ton chemisier !
J’étais à présent le chemisier ouvert, la poitrine franchement visible, la bande sombre de mes bas soulignant le haut clair de mes cuisses. La scène était torride : j’étais juchée sur mes talons hauts, en bas et porte-jarretelles, le chemiser totalement ouvert, ma poitrine totalement libre et exposée. Mes tétons étaient durs, témoignant de mon excitation, de mon désir, de mon appel du mâle.
Sans se soucier de Philippe ou qu’on puisse nous surprendre, Nicolas détaillait ma poitrine totalement offerte. Il me serra dans ses bras, me faisant sentir son désir animal et prit mes lèvres, m’embrassant jusqu’à ce que nous perdions le souffle. Je caressais son sexe à travers son pantalon.
Sentant que je n’en pouvais plus d’attendre, mon amant comprit qu’il fallait enfin rejoindre la chambre qui serait le théâtre de nos jeux érotiques.
Ce fut Philippe qui ouvrit la porte. Il avait choisi une suite, la plus belle de l’hôtel. Je pris le temps de déposer un baiser sur les lèvres de mon mari candauliste, pour le remercier de m’offrir une après-midi de plaisir.
Je me débarrassais de mes escarpins, Nicolas me porta jusqu’au lit, sans cesser de m’embrasser. Il me déposa sur le grand lit, alors que Philippe positionnait un fauteuil pour ne rien manquer de ce ...
... qu’il avait voulu, une scène dont il ne se lassait pas et dont il ne s’est jamais lassé.
Il tendit un préservatif à Nicolas :
• Tu as peur que je l’engrosse ?
Philippe lui avoua que j’étais à ce moment-là à un autre.
• Je suis le mari d’Olga mais son amant Rachid se réserve le droit de jouir en elle.
• Vous êtes vraiment un couple spécial ! T’inquiètes, faut assumer mon gars, je suis sûr qu’elle aime se faire remplir !
Nicolas, impatient, se débarrassa de son pantalon et de son slip et se positionna au bord du lit. Comprenant ce qu’il voulait, je me mis devant lui, en levrette sur le lit, le cul bien tendu, les jambes écartées, la chatte béante. D’un coup et sans ménagement il claqua mon cul puis il s’enfonça en moi. Surprise par tant de fougue, je lâchais un gémissement avant de l’encourager à me prendre sauvagement.
Ses mains agrippaient mes hanches et il commença à pilonner ma chatte. Sa grosse bite sortait puis s’enfonçait à nouveau en moi, ses va-et-vient tantôt lents tantôt rapides me faisaient perdre la tête.
• Ca te plait, comme je nique ta femme ?
• Oui, beaucoup ! Vas-y, fais la jouir !
• T’as épousé une sacrée salope, une chienne en chaleur !
Je gémissais de plus en plus, l’invectivant de continuer encore et encore… Je gémissais de plus en plus fort. À chaque fois qu’il claquait mon cul, je gémissais un peu plus et, à chaque fois, il me défonçait encore un peu plus.
Il lâcha ensuite mes hanches et tandis qu’une main venait pétrir mon ...