Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : l’inconnu du restaurant
Datte: 21/04/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... moment-là était vrai) lui avait donné son « accord », sous réserve que je prenne la pilule. Il était évident que Philippe était revigoré par ma transformation et par le fait que tant d’autres profitaient désormais de mes charmes. Je devais aussi remercier pour cette transformation ma rivale Marie C, dont l’objectif était de me séparer de Philippe et qui avait beaucoup contribué à faire de mon mari un amant plus qu’honorable.
Certes Philippe ne pouvait se comparer aux performances de Rachid et n’y prétendait pas, mais il était loin l’éjaculateur précoce qui m’avait tant frustrée. Par contre, ce qui n’avait pas changé et ne changerait pas c’était son candaulisme.
Nous nous étions endormis tard, je me réveillais au milieu de la matinée, Philippe avait déjà quitté le lit, en veillant à ne pas me réveiller.
J’ouvre les yeux, il est là, avec le plateau du petit déjeuner. Il approche une petite table pour que je puisse le prendre au lit. Après m’avoir embrassé tendrement, il positionne des oreillers pour que je sois le plus confortablement installée. Quelle différence avec la brutalité de Rachid : je me suis sentie comme une reine, heureuse, pleine de reconnaissance pour cet homme qui m’adule. Pourquoi alors ne me suis-je contentée de lui ? Pourquoi lui-même ne le voulait-il pas ?
• As-tu besoin d’autre chose, Basilissa Moy ?
• Il me manque une chose, tu sais bien ce que je j’aime pour commencer ma journée, mon amour et ce depuis que nous vivons ensemble ...
... !
Philippe me sourit, il avait évidemment compris et son érection en témoignait. Je commençais rarement une journée sans prodiguer à mon chéri une fellation. C’était et c’est encore une habitude, à laquelle je n’ai pas dérogé, même lorsque j’étais la « femelle de Rachid » et même lorsque je fus la femme d’Hassan.
Depuis que je me suis éveillée à la sexualité, je suis une fellatrice passionnée.
• Enlève ton pantalon et approche ! Mais dis-moi, tu bandes déjà, cochon ! Je vais te soulager, pendant que tu prépares cette baguette avec du beurre. Moi c’est d’une autre baguette dont j’ai envie !
Je lui ai ce jour-là administré l’une des plus belles pipes de sa vie. Tout en prenant son gland entre mes lèvres, je caressais ses couilles, les soupesant, jouant avec, les malaxant. Son gland coulissait entre mes lèvres, tandis que je tendais de mon autre main la peau de son sexe au maximum. Ma langue descendait le long de sa bite, revenait plus haut, redescendait. Je fis couler un filet de bave sur son gland, que je m’empressais de nettoyer consciencieusement, en avalant sa bite sur toute sa longueur, mon nez venant alors jouer avec les poils de son pubis. Le rituel du matin était pour moi de lui vider les couilles, de le faire mourir de plaisir dans ma bouche, de m’abreuver de son offrande.
Ma main s’aventura alors entre ses fesses. Etant habitué, c’est bien volontiers qu’il me facilitait le passage. Mon doigt jouait à l’entrée de mon anus. Je suçais mon doigt, lui écartais les ...