1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : l’inconnu du restaurant


    Datte: 21/04/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... fesses, et titillais son anus désormais habitué à ce genre de plaisirs. Je me plaçais entre ses cuisses, plaqua d’une main sa bite sur son ventre et me mis à lécher fougueusement son cul, ma langue pénétrant son anus.
    
    Je repris donc ma position initiale, recommençai à le pomper à fond et à rythme régulier, et introduisit sans ménagement un doigt au fond de son cul, décuplant ainsi son érection pourtant déjà bien avancée.
    
    Je le suçais à un rythme soutenu, tout en le branlant d’une main et en lui caressant les couilles et les fesses de l’autre. Je sentais qu’il allait venir.
    
    Je replongeais entre ses jambes, accélérais et, au moment où il criait de plaisir, éjaculant tout ce qu’il pouvait donner, je lui enfonçais mon majeur dans le cul, continuais de le lécher sans faiblir, jusqu’à la dernière goutte, nettoyant son gland de la moindre trace de sperme.
    
    Je me relevais, ouvris la bouche pour montrer que j’avais conservé tout son sperme sur ma langue, avant de l’avaler, en fixant amoureusement Philippe.
    
    • Merci pour ton cadeau mon chéri. C’est ta semence que je préfère, tu bon goût !
    
    • Et toi, mon Olga, tu mérites le surnom qu’on donnait à la reine Cléopâtre : « bouche d’or » ! Mais maintenant, tu dois te préparer. J’ai prévu une table dans un excellent restaurant, à deux heures de route.
    
    Philippe assista à ma préparation, mais en restant sage.
    
    J’ai choisi un chemisier de satin noir tombait impeccablement, que j’ai laissé ouvert jusqu’à la naissance de mes ...
    ... seins. J’avais choisi de ne pas mettre de soutien-gorge. J’aime la liberté que cela me procure.
    
    Ma poitrine était donc totalement libre sous mon chemisier. Cela me faisait un peu drôle de ne porter que la culotte et le porte-jarretelle de ma parure. Mais ce n’était pas désagréable. Le porte-jarretelles était si confortable que je ne le sentais pas, il s’appliquait impeccablement sur mes hanches, tendant parfaitement mes bas en voile noir.
    
    Je me suis maquillée, insistant sur le fard à paupière gris anthracite et le mascara. Mon brushing refait, je me trouvais très belle. Philippe ne manquait pas de me le répéter, plus amoureux que jamais.
    
    J’avais hésité sur les chaussures, entre une paire de vernies noires à talons hauts simples mais dans lesquelles je suis très bien, et une d’autres qui ont un nœud mauve sur le dessus mais celles-ci beaucoup plus hautes, avec un talon aiguille de 16cm. Je ne les avais encore jamais portées.
    
    • Dis-moi, chéri, quelles chaussures préfères tu, celles avec le nœud ou celles-ci ?
    
    Il avait opté sans hésiter pour les secondes, ajoutant :
    
    • Elles mettent ton joli cul en valeur !
    
    J’avais passé une minijupe en laine fine fuchsia, elle m’arrivait juste sous les fesses. J’avais choisi la combinaison explosive et qu’on déconseille en principe : j’étais habillée très court et j’avais un décolleté absolument ravageur et totalement profond. Philippe avait ce qu’il avait demandé : il serait accompagné par une véritable professionnelle ! ...
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