1. Traitement et guérison


    Datte: 21/04/2020, Catégories: fhhh, inconnu, parking, boitenuit, voiture, fsoumise, facial, préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, jouet, sm, donjon, attache, piquepince, méthode, confession, Auteur: RobertAnne92, Source: Revebebe

    ... que je ne vais pas me retrouver dans un quartier chic. Pourtant le café-bar-restaurant fait moins miteux que je ne craignais. La terrasse se paie même le luxe d’être plein sud. Je ne vous dis pas les regards lorsque je me m’y suis installée. Sans ma tenue de bourgeoise chic, j’aurais peut-être pu passer pour une touriste perdue auprès d’une clientèle uniquement masculine, plongée dans les journaux de PMU.
    
    La serveuse prend ma commande. Un thé, bien sûr : il faut jouer le jeu, bien qu’un whisky soit plus approprié pour me détendre un peu. Mon téléphone sonne. C’est Pierre.
    
    — Change de place. Recule vers la vitre, face à la terrasse.
    
    Ainsi, il est dans le coin. Il doit me voir pour me donner des indications si précises. Je le cherche du regard. Peut-être dans une des voitures un peu plus loin. Mais il n’apprécie pas ce moment d’hésitation et sa voix tonne dans mon oreillette.
    
    — Allez, dépêche-toi !
    
    J’obéis, bien sûr. Toujours sous le regard des clients.
    
    — Écarte les cuisses. Débrouille-toi pour qu’ils te voient. Il faut en attirer un que tu vas entraîner au sous-sol, dans la réserve. Quand vous aurez terminé, tu recommences. Autant de fois que je le dirai…
    
    Placée comme je suis, trois hommes peuvent avoir une vue directe sur mon intimité. Je me tortille pour faire remonter un peu ma jupe et faciliter la vision. La serveuse qui revient ne peut pas ignorer mon manège mais elle ne dit rien. Les hommes regardent mais ne bougent pas, malgré mon exposition ...
    ... manifeste.
    
    Quelqu’un se présente face à moi. Une femme, pas de la première jeunesse.
    
    — Qu’est-ce que tu viens faire ici, la bourgeoise ? Madame vient s’encanailler avec le peuple. Son mari ne lui suffit pas. Mais je ne veux pas de cela chez moi. Si cela se trouve, tu es de la police. Cela ne serait pas la première fois que vous cherchez à me faire tomber pour proxénétisme. Allez, ouste ! Du balai !
    
    Je vais protester mais la voix de Pierre retentit à mon oreille.
    
    — Passe-la-moi.
    
    Je propose mon téléphone et son oreillette à la femme qui me regarde avec surprise, mais l’accepte.
    
    — Oui ?
    — …
    — Pierre, c’est toi ? Quelle surprise.
    — …
    — Je comprends. Que de souvenirs… Nouvelle ?… Bien sûr ! Attends, j’ai une idée ; je vais vérifier quelque chose…
    
    Et elle part avec le téléphone, me laissant comme une cruche. Ainsi, elle connaît Pierre, et les quelques mots que j’ai entendus me font comprendre qu’elle sait son penchant.
    
    Elle revient, toujours en conversation téléphonique.
    
    — Tiens : il veut te parler.
    
    Elle me rend l’appareil.
    
    — Muriel ?
    — Oui ?
    — Changement de programme. Tu suis la femme et tu obéis.
    
    Elle m’entraîne dans le bar et, passant une porte, nous arrivons dans une salle où des clients jouent au billard. Deux tables. Chacune est éclairée par un luminaire à trois globes, tellement bas que les côtés sont dans l’ombre de cette pièce aveugle. Quatre joueurs et un… non, deux spectateurs avachis dans de vieux fauteuils.
    
    — Qu’est-ce que tu nous ...
«12...789...18»