1. Traitement et guérison


    Datte: 21/04/2020, Catégories: fhhh, inconnu, parking, boitenuit, voiture, fsoumise, facial, préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, jouet, sm, donjon, attache, piquepince, méthode, confession, Auteur: RobertAnne92, Source: Revebebe

    ... équipements, des poulies, des croix. Ce n’est pas fait pour me rassurer. Je sens que je vais déguster. Heureusement que je fais confiance à Pierre, mon Maître, pour me protéger d’ardeurs peut-être mal contrôlées.
    
    Tout le monde attend. Pierre me montre un siège.
    
    — Va t’asseoir. Myriam, tu as gagné le droit de tester ton scénario. Une Maîtresse doit aussi savoir apprécier les limites de la soumission.
    — Moi ? Mais…
    
    Personne ne s’attendait à cela ; surtout elle ! Et moi donc… Tous ont les yeux braqués sur elle. Pierre a ce sourire que je commence à connaître. Il la regarde droit dans les yeux. Un instant, elle hésite, puis prend sa décision.
    
    — Oui, Maître. Je suis à votre service.
    
    Tout le monde alors s’active comme une troupe déjà bien rodée. En un instant elle est nue, immobilisée. Des liens partent du plafond pour rejoindre ses poignets alors que d’autres immobilisent ses chevilles au sol. Elle se laisse faire, docile, trouvant tout de suite la position souhaitée par les officiants. Pas étonnant : elle en a décrit chaque détail, crayonné chaque dessin. Elle sait donc ce qui l’attend.
    
    Elle salive abondamment sur le gode et le plug qu’ils lui tendent avant de la posséder avec. Ils entrent facilement dans ses intimités ouvertes par les jambes écartées. Maintenant, Véronique s’emploie à ligoter les seins avec des cordes qui les enveloppent à la base, disparaissent dans le dos pour revenir autour du cou. Le laçage est compliqué mais élégant. Symétrie parfaite, ...
    ... digne de l’art japonais du bondage. La poitrine est mise en valeur : deux mamelons qui se détachent du corps en extension. Deux protubérances parfaitement galbées qui deviennent petit à petit d’un rose qui tourne au rouge avec les tétons qui pointent sous la pression des chairs compressées.
    
    Ils lui bandent les yeux. La suite est évidente. Les premiers coups la surprennent pourtant. D’abord quelques claques sur les fesses. Oh, pas de frappes violentes. C’est plus l’effet de surprise que la douleur qui la fait sursauter. Ses amis se succèdent. Chacun apporte sa diversité. Ils sortent des fouets comme celui que Pierre m’a fait connaître la première fois. Les lanières de soie glissent sur les seins, le manche cherche des chemins intimes.
    
    Elle est courageuse, la petite Myriam. Elle assume. Pas de cris. Pas de plaintes ni de gémissements. Seulement des tentatives d’esquive qui la font se balancer.
    
    — Muriel, viens.
    
    Pierre ne m’avait pas oubliée. On m’applique le même traitement. Immobilisée, fouillée, battue, aveuglée. J’ai droit à tout. Mon corps accepte la douleur. Mon esprit la demande. Mes seins, chairs garrottées, sont d’une sensibilité extrême. Le moindre effleurement me procure une jouissance libératrice.
    
    On m’abandonne. Silence autour de moi, mais mouvements qui libèrent légèrement la tension sur mes bras. Des mains me poussent en arrière. Je suis en déséquilibre. Que cherchent-ils ? Je ne peux pas tomber : les liens me retiennent. Oui, mais ils relâchent encore ...
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