1. Traitement et guérison


    Datte: 21/04/2020, Catégories: fhhh, inconnu, parking, boitenuit, voiture, fsoumise, facial, préservati, pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, jouet, sm, donjon, attache, piquepince, méthode, confession, Auteur: RobertAnne92, Source: Revebebe

    ... en sais gré : mes orifices meurtris par les hommages multiples des Gégé et consorts méritaient bien un peu de repos.
    
    Puis un SMS est arrivé sur mon portable, toujours laconique et directif :
    
    Cela fait drôle de me retrouver dans ce lieu, comme si une éternité s’était passée. Que reste-t-il de la femme que j’étais il y a… combien déjà ? Un mois, deux mois ? Pas plus ; et pourtant, c’est une autre Muriel que Pierre entraîne avec lui. Le rituel n’a pas changé et les étudiants lui donnent la lettre qui le dégage de toute responsabilité au cas où.
    
    Ils me saluent avec un petit sourire lorsqu’ils me découvrent à ses côtés. Je sens dans leurs regards des interrogations muettes. Ils sont tous là : Virginie, Myriam, Roman et les trois autres dont je ne connais pas le prénom. Myriam, l’effrontée, celle qui voulait que Virginie suce Pierre comme punition, n’arrête pas de parler à voix basse avec sa voisine.
    
    Pierre prend la parole. Il reste le professeur qui parle à des élèves.
    
    — Comme vous voyez, Muriel est parmi nous. Depuis la dernière fois, nous avons beaucoup progressé. Nous avons…
    
    Et il donne le récit de mes turpitudes ; enfin, de la plupart. L’atmosphère change dans la pièce. Les jeunes se tortillent sur leur siège. De gêne ? D’envie ? De façon à rediriger une queue qui bande et qui est écrasée par le slip ? De façon à discrètement se frotter le minou qui s’échauffe ?
    
    — Muriel, montre tes piercings.
    
    J’ai pris l’habitude d’obéir, et c’est ridicule de ...
    ... craindre de me montrer nue et affichée, après tout ce que j’ai fait ; mais il me faut me forcer pour apparaître naturelle dans cette situation.
    
    — Approchez.
    
    Il ne faut pas leur dire deux fois, aux filles surtout. Après tout, j’étais aussi curieuse qu’elles lorsque Nadia m’a montré les siens. Les questions fusent, mais je ne dis rien. Mon Maître me fait signe de répondre. Il faut toute ma persuasion pour qu’elles acceptent que le plaisir apporté par ces morceaux de métal fait très vite oublier la fulgurante douleur de la pose. Ils s’enhardissent, qui en palpant un sein, qui en touchant mon clito dénudé. Miriam, encore elle, presse ma poitrine en riant.
    
    — Ah. Miriam. Toujours toi, dit mon Maître.
    
    Et s’adressant à tous :
    
    — Savez-vous que votre amie a une imagination débridée et fertile ? On pourrait croire queLe divin Marquis s’est réincarné en elle. De plus, elle a un joli talent de dessinatrice : voyez ! dit-il en montrant quelques pages couvertes d’écriture et de dessins. Regardez tout ce qu’elle a prévu, étape par étape, avec la précision d’une Maîtresse affirmée. Et que dire des croquis…
    
    On ne me laisse pas voir les documents. Ils passent entre leurs mains. Je vois bien aux regards qu’ils me jettent qu’ils m’imaginent déjà dans les situations décrites.
    
    Pierre récupère les feuillets.
    
    — Alors ? Qu’attendez-vous ? Allons dans le donjon. Nous serons plus à l’aise là-bas.
    
    Le donjon ressemble plus à une salle de torture qu’à un salon cosy. Partout des ...
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