1. La bonne petite élève (5)


    Datte: 03/04/2018, Catégories: Hétéro Auteur: l'estello, Source: Xstory

    ... ma vie, juste une de mes élèves que j’ai pervertis et qui désormais va poursuivre sa vie !
    
    Puis au beau milieu de l’été Myriam m’envoie un message, demandant à me voir pour me parler d’une chose sérieuse. Je lui fixe rendez-vous dès le lendemain matin chez moi.
    
    A son arrivée pas d’embrassade ni de câlin. Myriam a l’air tendue, préoccupée, nerveuse. Je ne sais pas à quoi m’attendre mais je veux le savoir très vite :
    
    — Qu’est-ce qu’il se passe ? Tu as un problème ?
    
    — Il faut que je vous dise que la semaine prochaine je pars au bled. Je vais y rester tout l’été et... je... je vais m’y marier...
    
    — C’est donc ça la raison de ton silence et de ta froideur
    
    — Oui. Je savais que j’étais promise là-bas, mais je ne pensais pas que cela arriverait si tôt
    
    — Et tu le connais ?
    
    — Oui, oui on s’est déjà rencontré plusieurs fois, mais il ne s’est rien passé hein ! Il a mon âge et il est très gentil. Cela fera un bon mariage pour ma famille.
    
    — Myriam si cela te satisfait, alors moi aussi.
    
    — Mais Monsieur je m’en veux vis-à-vis de vous !
    
    — Pourquoi ?
    
    — Parce que je vais lui offrir ce que je vous ai toujours refusé, alors que j’en avais très envie. Mais je n’ai pas le choix, il doit être mon premier.
    
    — Tu es jeune Mimi, tu dois vivre ta vie, c’est normal, je savais que cette situation se présenterait un jour, ne t’en fais pas pour moi.
    
    — C’est vrai, vous ne m’en voulez pas ?
    
    — Pas du tout. Mais tu sais, si vraiment tu voulais m’offrir ta première ...
    ... fois, tu peux encore le faire, mais d’une autre manière.
    
    Elle ne comprend visiblement pas où je veux en venir. Je la prends alors dans mes bras, embrasse son front, ses joues, son menton puis sa bouche. La regardant fixement dans les yeux, je descends mes mains sur son cul que je serre fermement.
    
    — Ce que tu as là, je peux encore être le premier à l’avoir. Je peux même être le seul si tu le souhaite.
    
    — Mon... Monsieur, j’ai peur que ça fasse mal. Mais j’ai envie de vous l’offrir, je veux vous sentir en moi, là, maintenant.
    
    Je sens un vent de désir m’emporter. Je saisis sa main et l’entraîne dans ma chambre. Debout devant le lit je l’embrasse fougueusement, nos langues s’entremêlant avec frénésie, nos bouches se rendant chaque baiser. Je lui ôte son débardeur, dégrafe son soutif, je la retourne violemment, dos à moi, j’empoigne ses seins, pince ses tétons, mord son oreille. Sans lâcher son sein, une de mes mains se libère pour baisser son legging de sport noir et sa culotte bleue. Elle finit de les enlever à l’aide de ses pieds. A mon tour je défais mon short qui glisse par lui-même et je retire mon boxer. Ma queue fièrement redressée vient déjà taper contre ses fesses. Mais il est encore trop tôt.
    
    Je l’invite à s’allonger sur le lit. Je m’étends au-dessus d’elle, embrasse à nouveau sa bouche, puis ses seins, son ventre et enfin je viens plonger dans sa toison humide. L’odeur de sa chatte comme toujours m’enivre. Une odeur âcre, forte mais pas désagréable. Je lèche ...
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