1. La bonne petite élève (5)


    Datte: 03/04/2018, Catégories: Hétéro Auteur: l'estello, Source: Xstory

    A la suite de cette journée Myriam et moi avons continué à nous voir fréquemment. Le plus souvent à l’institut où je donne des cours, soit dans la salle de classe une fois vidée par les autres élèves, soit dans mon bureau.
    
    A chaque fois le même scénario. On s’enlace, on s’embrasse, on se caresse. Et puis Myriam me glisse à l’oreille : « Monsieur, faites-moi jouir... ». Alors à chaque fois je glisse ma main dans sa culotte, j’explore ses plis, titille son bouton très érectile, palpe ses fesses, ses seins, retire ses vêtements, frotte ma queue entre ses lèvres humides...
    
    Parfois quand j’ai l’assurance que nous ne serons pas dérangés, je l’assois nue sur mon bureau et je plonge ma tête entre ses cuisses pour me délecter de son nectar. Son minou est ferme, charnue, juteux. Passer beaucoup de temps à la lécher est devenue l’activité principale de mes fins de journée. Le plus souvent c’est dans ma bouche qu’elle jouit.
    
    Au fil des jours elle prend de l’assurance et n’est pas en reste pour me donner du plaisir. Ses mains deviennent plus sures pour aller chercher ma bite au fond de mon caleçon et me branler divinement. Un jour c’est avec son cul qu’elle va me branler. Je suis assis dans mon bureau, sur mon fauteuil, Myriam me rejoint après que ses camarades soient partis. Elle m’embrasse avec volupté, palpe mon sexe, le sors de sa prison de tissus, le branle pour qu’il gagne en vigueur. Une fois érigé, elle baisse son pantalon et sa culotte, se met dos à moi, prend appuis sur ...
    ... le bureau, et elle dirige ses grosses fesses musclées vers mon gland rougi. Par d’habiles flexions de ses cuisses elle fait glisser son cul le long de ma queue, de haut en bas. Puis elle écarte ses fesses à pleine main et enserre mon membre entre elles avant de s’agiter frénétiquement dessus provoquant ma rapide montée de sève due pas tant aux sensations ressenties qu’à l’excitation de la situation et au plaisir de la voir s’employer à me donner du plaisir.
    
    Au fil de nos entrevus sa bouche est également devenue experte. Plus besoin de lui montrer comment me sucer. Elle apprend vite. A plusieurs reprises elle m’a laissé me vider dans sa gorge. Je vois bien qu’elle n’aime pas trop ça, mais elle insiste pour que j’aille au bout. Je comprends cela comme une façon de « s’excuser » de ne pas pouvoir aller au bout de cette relation physique et ne pas accepter la pénétration.
    
    Je dois dire que cela me satisfait globalement. Et quand le besoin de pénétrer une chate est trop fort, je réactive les vieux contacts de mon téléphone portable. Mais aucune n’a la saveur de cette petite élève qui a déjà franchi tant de palier.
    
    Les semaines défilent et la fin de l’année scolaire est là. Plus de moyen naturel de voir Myriam, je la sollicite donc pour qu’elle vienne chez moi. Elle refuse une première fois, au prétexte de devoir garder ses petits frères et sœurs, puis une seconde, une troisième... Je suis un peu déçu que les choses s’achèvent ainsi, mais après tout ce n’est pas l’amour de ...
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