1. Ça c’est passé simplement 9


    Datte: 20/04/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Macerou, Source: Hds

    ... elle me dit : « Non, … pas ici, …pas comme ça, … OOOHHH oui, …on va nous voir, … »
    
    Vu l’emplacement de la voiture, éloignée de l’entrée, seule éclairée, il était peu probable que l’on puisse être surpris, je continuais mes manœuvres.
    
    Elle s’était quand même décidée à se coucher sur le capot, la jupe entièrement ouverte, les cuisses largement ouvertes, j’avais à disposition sa chatte, que je m’empressais d’investir avec bouche et doigts à la satisfaction de ma partenaire. Son odeur de femelle bien chaude me saoulait littéralement et je m’empressais de laper son jus à la source, pendant que mes doigts s’enfonçaient sans problème dans son fourreau coulant de plaisir. La musique douce à mes oreilles se mit en route et : « Ouiii, … c’est bon, … prends moi avec tes doigts, … oui, comme ça, … OOOHHH, … OOOHHH, … oui, rentres, … ça m’excite de faire ça, là, …, oui,…»
    
    J’avais profité de son ouverture pour titiller son petit trou et elle avait apprécié cette initiative. En même temps que ma langue s’occupait de lécher et aspirer ses grosses lèvres, mes doigts accéléraient leur va et vient dans ses orifices humides et ouverts à ces jeux, ce qui s’entendait : « Ouiiii, … continues,… ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, … ouiiii, … OOOHHH, … OUIIIII, … j’aime ça, … continues, tu vas me faire jouir, … OUIIIII, … OOOHHH, ... JE JOUIIIIIIIIS, … OUIIIII, … »
    
    Ses cuisses se refermèrent brutalement sur ma tête et un flot de son jus de plaisir s’écoula dans ma bouche gourmande. ...
    ... Il lui fallut quelques instants pour revenir de son voyage et se laissant glisser du capot elle atterrit dans mes bras : « Salaud, … t’es content de toi, … me faire ça ici, … sur le capot d’une voiture, … je ne me reconnais plus, … embrasses moi, … c’était bon, … dépêches toi, on rentre à l’hôtel, … je veux te sentir me prendre, … je veux m’offrir à toi, … viens,…»
    
    Nous étions dans la voiture, je commençais à écarter les pans de sa jupe. Elle m’arrêtât et les dégageant, elle même, écarta les jambes, et dit : « C’est ça que tu veux ? », … c’est ainsi que nous arrivâmes au parking de l’hôtel. Après m’être garé, je lui conseillais de rentrer seule : « C’est mieux, certains pourraient avoir des idées idiotes !!! On se retrouve dans la chambre »
    
    Environ cinq minutes plus tard je rejoignais ma chambre. Je frappais à la porte intermédiaire qui s’ouvrit aussitôt, Mireille m’attendait, vêtue d’un soutien-gorge quart de bonnet en dentelle, qui propulsait ses seins en avant, d’un porte jarretelles tendant ses bas et de ses escarpins.
    
    Elle : « T’es encore habillé, … » Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour me trouver nu comme un vers et avec une trique visible et bien tendue. Mireille s’approchant, nous nous collâmes et nos lèvres se rejoignirent, nos langues se caressèrent et son bassin se frotta à ma bite bien dressée. Après un baiser chaud et humide, ses mains qui étaient autour de mon cou se détachèrent et s’accroupissant, en me regardant droit dans les yeux, ses mains ...