1. Les machinations de Laure (3)


    Datte: 18/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory

    ... mon gars...
    
    — Franck, c’est qui cette gamine ?
    
    — Ce n’est plus une gamine, déjà, mais une jeune femme. Et je suis certain qu’elle mènera une carrière magnifique si seulement quelqu’un parvient à la consoler de son malencontreux dépucelage.
    
    — Elle l’a fait avec un mec de son âge ?
    
    — Evidemment.
    
    — Tu sais, Franck, on en a déjà parlé plein de fois, hein, eh bien je crois que nous sommes d’accord. Les puceaux et les pucelles, il ne faut pas les laisser découvrir tout ensemble.
    
    — Clairement.
    
    — Bon, écoute, c’est d’accord. Elle est open aussi ?
    
    — Je pense. Mais si jamais elle change d’avis...
    
    — Non mais tu me connais, ho !
    
    — Je suis sérieux. Je ne veux pas que tu la..., euh...
    
    L’irrésistible profita de mon hésitation pour intervenir :
    
    — Me dis pas que c’est ta fille, Franck. Pas ta fille. Tu sais bien que c’est la règle. Pas les ascendants ni les collatéraux des copains.
    
    — On ne pourrait pas faire une exception à la règle ? Une seule ? Tu comprends, je te fais confiance, je t’ai vu avec d’autres, je sais que tu sauras comment t’y prendre.
    
    — Tu m’en demandes beaucoup. Ce n’est pas dans nos habitudes.
    
    — Je vais t’en demander encore plus. J’ai bien réfléchi, mais je pense que ce serait mieux que tu viennes chez moi pour ça.
    
    — Chez toi ? Non, non, non. Ça non. Tu sais bien, pas question de nous croiser en-dehors du club. Tu connais la consigne.
    
    — Non mais c’est juste pour cette fois.
    
    — Je ne veux pas savoir où tu habites. Je ne ...
    ... veux pas savoir qui tu es. Si jamais quelque chose arrive à cette môme par la suite, je serai suspect direct. Tu sais bien que toutes ces règles sont pour nous protéger nous.
    
    — Bon. Je te propose un truc. On se retrouve quelque part. Je viens te chercher en voiture. Tu me donnes l’adresse, et j’arrive.
    
    — Quand, maintenant ?
    
    — Tu as autre chose à faire ?
    
    — Pas vraiment, mais...
    
    — Tu montes dans ma voiture, et discrétos je te couvre les yeux, ou je t’enferme dans le coffre, ou quelque chose. Je t’amène chez moi. Personne ne te verra. Je ne t’enlèverai ton bandeau que dans la chambre. Là, tu feras ce qu’il faut pour que ma fille s’amuse bien, et découvre l’essentiel. Et après, retour, même cinéma. Tu ne sauras pas où j’habite, ni rien. Et personne ne l’apprendra.
    
    — Ce n’est pas raisonnable, Franck.
    
    — C’est ma fille. Tu comprends que j’aie du soin d’elle.
    
    Il hésita en silence, et je sus que c’était gagné. Je le connaissais assez. Finalement, il lâcha.
    
    — Cinquante-trois, rue Léo Lagrange. Tu vois où c’est ?
    
    — Je vais trouver sur mon GPS.
    
    — C’est dans le quartier des Palounières.
    
    — Ah, OK. J’en ai pour un gros quart d’heure.
    
    — Ne me dis pas ça, Franck. Tu me donnes un indice.
    
    — Je te mens peut-être.
    
    — Ouais, ouais. A tout de suite.
    
    J’avais à peine coupé la conversation et commencé à sortir de la chambre de ma fille pour descendre l’escalier et sortir de la maison, que Laure, sur mes talons, me déclara :
    
    — Pas dans ma chambre.
    
    — ...
«12...111213...»