La descente aux enfers d'une veuve (3)
Datte: 18/04/2020,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: chloe23, Source: Xstory
... cacher en travaillant, et elle se sentait aussi honteuse et humiliée que lors de cette maudite soirée d’anniversaire.
Lorsqu’elle eut fini de laver le sol de la cuisine, elle passa dans le grand séjour, et Clotilde lui ordonna de poursuivre sa tâche pendant qu’elle même allait se changer.
Elle se sentit un peu soulagée de ne plus être le point de mire de sa patronne. Celle-ci mit un peu de temps à revenir, mais quand elle réapparut, les yeux d’Annie s’écarquillèrent.
Sa patronne portait un bustier en cuir noir, qui comprimait sa taille déjà fine. Il rehaussait ses seins en poire, sans les couvrir, et les pointes saillantes pointaient fièrement. En bas, Clotilde avait mis un minuscule string ficelle, en cuir noir lui aussi. Et elle était juchée sur des chaussures plateformes d’une hauteur invraisemblable, tenues par des lanières autour de ses chevilles. Ainsi, elle dominait son employée de plus d’une tête.
Annie reprit son travail, sans dire un mot, pendant que Clotilde s’installait sur un fauteuil pour la regarder, en caressant discrètement son sexe. Puis, quand son employée eut fini de laver le sol, elle sortit sur la terrasse, en lui ordonnant d’un ton sec :
— Nini, puisque tu as terminé, tu vas me préparer un thé, et me l’apporter sur la terrasse.
— Oui, Madame Clotilde. Mais vous ne voulez pas que je vous serve dehors comme ça ?
— Comme ça, tu veux dire nue ? Bien sûr que si !
Et la grande bourgeoise sortit en la toisant, et s’installa sur une ...
... chaise longue.
Soumise, Annie fit chauffer l’eau, et prépara le thé. Elle appréhendait l’instant où elle se retrouverait dehors, en tenue d’Eve. Ça ne lui était jamais arrivé...
Heureusement, la terrasse était à l’abri des regards, car sa patronne insista pour qu’elle reste auprès d’elle. A sa grande surprise, elle se sentit moins gênée qu’elle le craignait, et éprouva une sorte de plaisir à recevoir la caresse du soleil sur sa peau. Ce qui éveilla en elle un nouveau sentiment de honte et de culpabilité. Elle était dans ses pensées, quand Clotilde la sortit de sa rêverie avec un ordre lancé d’une voix brève.
— Va dans ma chambre me chercher la boîte qui est dans le tiroir de ma table de nuit. Allons, réveille-toi, Nini !
Pendant qu’elle rentrait dans la villa, sa patronne la suivait du regard, en passant sa langue sur ses lèvres avec une expression gourmande. Elle dévorait des yeux son corps nu rendu luisant par la transpiration, ses fesses rondes qui bougeaient au rythme de ses pas, les mouvements de ses fortes cuisses...
Mais pour la suite, elle préféra rentrer dans le salon.
Lorsque Annie lui tendit la boîte, elle la prit en la fixant pour ne rien perdre de sa réaction. Elle souleva le couvercle, et marqua une pause.
A l’intérieur, il y avait un jeu de lanières en cuir, dont Annie ne devinait pas l’usage. Et un godemichet noir, énorme. Elle devint écarlate quand elle le vit, et quand sa patronne le sortit de la boîte.
— As-tu déjà vu un tel engin, ma ...