La descente aux enfers d'une veuve (3)
Datte: 18/04/2020,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: chloe23, Source: Xstory
... l’heure, c’est bien Nini. Je vois que tu es obéissante...
Le vantail s’ouvrit, et elle avança d’un pas lourd vers la villa. La porte était ouverte, mais elle sonna tout de même.
— Entre Nini !
— Bonjour Madame Clotilde, dit Annie d’une voix faible, les yeux baissés.
— Bonjour Nini. C’est bien que tu aies décidé de revenir.
— Oui, mais c’est parce que vous m’avez obligée, répondit-elle. Surtout pour apaiser sa conscience.
— Je sais. Je regrette d’avoir été obligée d’en arriver là. Je ne le pensais pas, car j’ai toujours été gentille avec toi. Mais ça n’a servi à rien, alors dorénavant, je serai moins gentille.
Annie sentit l’angoisse redoubler en elle. A juste titre.
— Tu vas commencer par nettoyer le carrelage de la cuisine et du séjour, reprit sa patronne, l’air sévère.
— Bien Madame Clotilde.
Annie se dirigea vers la cuisine, sortit la brosse et la serpillière, et remplit un seau d’eau chaude au robinet. Sa patronne la suivit.
— Je ne te l’ai pas encore dit, Nini, mais tu vas enlever tes vêtements pour travailler.
— Enlever... Je ne comprends pas, répondit-elle, après être restée bouche bée pendant quelques secondes.
— C’est pourtant simple. Tu te déshabilles entièrement. Je veux te voir frotter ce carrelage à poil. Nue, si tu préfères ce mot.
— Oh, mon Dieu !! Non...
— Tu veux que je diffuse les photos que je t’ai envoyées ? Et je veux que tu saches aussi que j’ai une vidéo, que je pourrais mettre sur Internet ?
— ...
... Seigneur !! Qu’est-ce que j’ai fait ? Qu’est-ce qui m’arrive ?
— Accroche tes vêtements au portemanteau de l’entrée. Et enlève aussi tes sandales. Je veux que tu sois nue comme un ver.
Vaincue, elle alla dans le vestibule, pendant que sa patronne ne la perdait pas de vue. Elle déboutonna sa robe blouse, l’enleva, dégrafa son soutien-gorge, fit glisser le collant qu’elle avait mis malgré la chaleur, puis sa culotte. Elle laissa ses sandales, et revint vers la cuisine d’un pas lent, cherchant à cacher ses seins et sa toison avec ses mains.
Mais elle fut bien obligée de renoncer à se couvrir pour pouvoir travailler. Elle saisit la serpillière, la trempa dans le seau, et commença à frotter le pavé. Clotilde, vêtue d’une robe d’été courte et légère, savourait le spectacle – et sa victoire.
C’était un ravissement pour sa patronne de contempler ce corps aux formes pleines, s’activant avec la brosse. Les seins pleins et lourds ballottaient au rythme de ses mouvements. Elle était légèrement penchée en avant, et ses fesses semblaient encore plus charnues. Ses cuisses frottaient légèrement l’une contre l’autre, lorsqu’elle se déplaçait, et Clotilde, imaginait l’instant où elles s’ouvriraient pour elle, pour offrir à ses assauts le coquillage rose qu’elle allait martyriser.
Pour Annie, c’était un véritable supplice. Elle n’imaginait pas un instant l’érotisme, pour sa patronne, du spectacle de cette nudité incongrue. Sa pudeur était bafouée, tant elle était dans l’incapacité de se ...