Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (31) : Hassan s’impose.
Datte: 17/04/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Olga T, Source: Hds
... la maison, je vais vivre avec lui en attendant que nous réglions la situation.
• Et Rachid ?
• C’est fini avec lui. Ne t’inquiète pas, Hassan va s’occuper de lui. Pour le reste, nous en parlerons de vive voix.
• Olga, je suis prêt à tout accepter. Mais je t’en supplie mon amour, ne me quitte pas, ne me chasse pas de ta vie.
• Ne t’inquiète pas, je ne suis pas un monstre. Tu es le vrai père de mon bébé et tu es mon compagnon, je tiens à toi. Tu es à moi, bébé. Je t’embrasse.
A ce moment-là, Hassan sortit de la salle de bains.
• Tu téléphonais à Philippe, n’est-ce pas ?
• C’est normal, il s’inquiétait et je voulais savoir comment ça s’était passé avec le bébé.
• J’aurais préféré que tu lui parles en ma présence. J’ai entendu tes dernières paroles. Je te le répète, Olga, je ne partage pas. C’est fini avec Rachid, mais c’est aussi fini avec lui. Tu es à moi et à personne d’autre, désormais. C’est compris ?
• Hassan, je t’aime. Mais tu dois comprendre ce que Philippe est pour moi.
Hassan avait pris en mains mes poignets et les serrait avec force. Il était très en colère. Ses yeux lançaient des braises. Je sentais qu’il faisait des efforts pour se maîtriser. Je comprenais qu’il était partagé entre l’envie de me battre et le désir qu’il avait pour moi. Il me dira plus tard que ce qu’il avait accepté de ma part, il ne l’avait et ne l’aurait jamais accepté d’une autre. Je l’avais, m’a-t-il dit, « ensorcelé ».
Il se calma, m’embrassa puis me dit, d’un ...
... ton qui ne souffrait pas la discussion :
• Femme, vas préparer le petit déjeuner
Je n’avais pas l’habitude d’être commandée, mais plutôt d’être servie. Pourtant j’obtempérais, soumise à la volonté sans appel de ce mâle dominant.
J’essayais, en choisissant mes mots, de plaider la cause de Philippe, expliquant à Hassan l’immensité de son amour, tout ce qu’il avait fait pour moi, jusqu’à reconnaître et élever un enfant conçu par un autre homme.
• C’est bien le moins qu’il devait faire, c’est quand même lui qui t’a livrée à Rachid et qui a accepté, pire qui a poussé à ce que celui-ci te féconde. Excuse-moi, mais je n’arrive pas à accepter qu’un homme puisse pousser sa femme dans les bras d’un autre et en plus y trouver du plaisir. Je te promets d’être gentil et patient avec lui, mais que les choses soient claires : il est hors de question qu’il nous mate et encore plus qu’il te touche ou que tu le touches. C’est compris, Olga ?
• Tu es cruel, mais je ferai ce sacrifice, alors que j’aime Philippe autant que je t’aime. Il fait partie de ma vie, ne l’éloigne pas de moi, je t’en supplie !
RACHID HORS JEU
Sur ces paroles, il y eut un coup de sonnette.
• Ah Rachid, tu tombes bien ! On va pouvoir mettre les choses au point. Rentre ! Et toi, Olga, mets une robe de chambre. Je ne veux plus qu’un autre homme te voit nue !
• Mais chérie, s’il y a bien quelqu’un qui connait mon corps, c’est Rachid.
• Justement ! Fais ce que je te dis, femme !
Je m’exécutais, ...