Les Plaisirs du Bourg
Datte: 17/04/2020,
Catégories:
fh,
ff,
fff,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
Lesbienne
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... cette offre et conclut :
— Quand je vous disais que ce printemps échauffe les instincts… La chair est aujourd’hui le centre des préoccupations de tous et de tous les instants. Y compris des plus nobles et respectables Dames, si j’en juge par vos regards lubriques qui me dévorent toute crue ! Mais si vous croyez que je vais rendre les armes sans me battre…
Coincée entre les deux femmes, Sylvette est bien faraude de provoquer ainsi ses compagnes. Les cousines s’amusent de son franc-parler et du défi en forme d’invitation qu’elle vient de leur lancer. Échauffées par les confessions coquines, chacune lui caresse un mollet, les mains remontent rapidement, escaladent les genoux, rampent sous la robe, flattent l’intérieur des cuisses fraîches. Maligne, Sylvette les laisse faire sans broncher, paraît s’amadouer, puis, vivement, ramène ses genoux au menton, effectue une roulade avant, enchaîne un quart de tour, et passant dans le dos de Kirsten, lance ses jambes en avant pour s’échapper du piège.
Debout dans la ruelle du lit, elle saisit au passage le pot à lait, et le verse dans le bain. Déjà, elle est dans le baquet, tourne le dos à ses compagnes et trousse son sayon au fur et à mesure qu’elle entre dans l’eau. La drôlesse s’y prend si bien que ses spectatrices n’auront pas même le loisir d’apercevoir ses fesses pommelées qu’elle est déjà dans l’eau, jusqu’au cou. Se recroquevillant dans le baquet, elle brasse le bain pour bien mélanger le lait qui opacifie le bain et ...
... masque ses appas. Puis, se tournant vers les cousines libertines, l’espiègle affiche un air de triomphe et promène avec défi une brosse douce sur son corps. Levant une jambe hors du bain, elle la flatte avec délice avec le crin amolli, et lorsque la brosse plonge entre ses cuisses invisibles dans l’eau trouble, elle mime un plaisir exagéré à cette caresse explicite.
Kirsten et Soren ont bien du mal à ne pas rire de son effronterie et simulent comme elles peuvent courroux et agacement.
— Ne te semble-t-il pas Soren que cette gueuse se joue de nous. Pareil affront ne peut rester impuni !
— Voilà qui est bien dit ! Haro sur la donzelle !
Bondissant hors du lit, les deux jeunes femmes fondent sur leur victime, l’une la saisit par les épaules, l’autre plonge les mains dans l’eau et attrape les jambes. Elles l’extirpent du bain, la transportent, toute dégoulinante sur le lit, l’allongent sur le dos. Kirsten l’immobilise pendant que Soren se défait prestement de ses vêtements. Nue, elle vient quasiment s’asseoir sur la tête de Sylvette, lui plaque derechef son bonbon sur la bouche. La couturière joue le jeu, se défend avec une belle énergie, mais Soren lui bloque les bras avec ses genoux. Kirsten s’occupe des jambes qu’elle écartèle avant de plonger ses lèvres gourmandes entre les cuisses de sa victime. Rapidement cependant, la lutte cesse, la prisonnière capitule et s’abandonne, sa langue s’insinue dans la fente de Soren, laquelle, dressée sur ses genoux, se cambre ...