Deux collègues de bureau
Datte: 16/04/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Lesbienne
Masturbation
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... ventre et j’ai recommencé à me branler, sans le regarder, sans me retourner. J’avais envie qu’il continue à me dire comme ça et qu’il finisse par s’approcher. Qu’il me bouffe le cul et qu’il me prenne par derrière, putain, j’en crevais d’envie, dit Virginie en se levant pour ouvrir sa robe et l’enlever. »
Elle la posa sur son bureau, puis elle baissa sa culotte.
Je l’ai imitée juste après. On s’est retrouvée à poil sur notre lieu de travail, puis on a contourné nos bureaux pour s’enlacer, s’embrasser sur la bouche, se cramponner les fesses, puis se masturber mutuellement la chatte en restant face à face. Ce n’était pas la première fois. J’adorais ces moments. J’avais envie qu’on nous surprenne.
Elle m’a tout raconté en détail : les ados en train de baiser, la position dans laquelle ils étaient quand l’homme les a surpris, et celle qu’ils ont pris ensuite, tandis qu’il sortait sa bite pour se branler en les matant.
Puis la description détaillée du corps de la fille : ses petits nichons qui tremblaient comme des flans, son adorable petit cul blanc, sa petite chatte épilée en ticket de métro.
Jusqu’au moment où Virginie a senti l’homme s’approcher d’elle pour se mettre à genoux et se pencher, lui prendre le cul à deux mains et le lui lécher tandis ...
... qu’elle se branlait toujours. Le contact de son gland contre sa moule, puis la pénétration. Et l’homme qui lui parlait toujours.
Je ne me suis jamais faite surprendre en train de me masturber dans cette forêt où j’allais. En revanche, lors d’autres vacances passées dans un camping avec une copine de classe et ses parents, le père m’a surprise en train de pisser derrière la caravane. J’avais dix-sept ans. Il n’a rien dit, il m’a regardée. Je n’ai pas cherché à me cacher. Le lendemain, on a couché ensemble.
On ne s’est jamais faites surprendre par le patron dans ce bureau. C’est dommage. Ça m’aurait plu. Virginie aussi. On n’a jamais osé faire des trucs pendant qu’il était dans son bureau à lui, juste à côté. Les trucs en question, c’étaient surtout des soixante-neuf sur la moquette qui était couleur saumon. Cela dit, je ne sais pas comment il aurait réagi s’il nous avait surprises comme ça, à poil en train de nous gouiner. C’était vraiment un accro du boulot. Si ça se trouve, il aurait aussitôt refermé la porte pour aller se réfugier dans son bureau. Nous, le boulot, on n’avait pas que ça à faire. Et depuis Virginie, je ne suis plus jamais parvenue à laisser mon sexe au vestiaire avant de me mettre à travailler. Mon sexe me suit partout.
Pas vous ?
:::