Deux collègues de bureau
Datte: 16/04/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Lesbienne
Masturbation
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... Un mec de n’importe quel âge, je m’en fichais. Même un vieux. Ce qui importait, c’était que je sois vue comme ça, à poil en train de me branler. J’étais poilue à l’époque, et j’avais encore mes traces de bronzage. Tu vois ? »
« Je t’imagine très bien, dis-je en décollant les coudes de mon bureau pour poser mes mains à plat sur mes cuisses. Continue. »
« Je ne sais pas combien de temps ça a duré. Je sais juste que j’ai joui une fois, que j’ai rouvert les yeux, puis que j’ai recommencé presque aussitôt. J’étais dans tous mes états, parce que pendant quatre ans, l’autre connard m’avait obligée à cacher mes seins en public. Et là, j’étais célibataire, libre et complètement à poil. »
Je portais une petite robe beige ce jour-là. Elle m’arrivait à mi-cuisses et se boutonnait devant. Et tandis que Virginie me racontait son histoire, j’ai fait remonter doucement le tissu le long de mes cuisses, puis défait un bouton pour les écarter légèrement.
Pour sa part, Virginie effleurait son téton droit de l’index en parlant. Elle aussi portait une robe légère, kaki, sans soutien-gorge, ça se voyait très bien. Elle n’avait pas de très gros seins et sa peau était dorée.
« Continue », dis-je.
Elle reprit :
« Jusqu’au moment où j’ai de nouveau rouvert les yeux. Il y avait un mec à dix mètres de moi, non pas dans un bateau, mais pile en face, debout dans l’herbe. J’ai sursauté et aussitôt retiré ma main de mon entre-cuisse en le regardant. Il était en short et en tee-shirt. ...
... Il avait la cinquantaine, assez grand, un visage assez ordinaire, grisonnant avec des lunettes. Il souriait. Puis il s’est mis à marcher dans ma direction en disant : “Je suis désolé de vous déranger dans un moment si intime”. Je savais qu’il voyait mes seins, mais aussi mon cul. J’ai refermé mes cuisses et répondu : “C’est moi qui suis désolée”. Il souriait toujours. Il s’est arrêté à trois mètres de moi et il m’a dit : “Il n’y a pas de quoi. Il y a des choses plus désagréables à regarder dans la vie, ma foi. Vous habitez dans les coins ?” J’ai répondu : “Pas très loin.” Et il a dit : “Moi tout près. Je viens souvent me promener par ici. Le coin est tranquille. Il y a peu de risques d’être dérangé.” J’ai dû sourire en lui disant : “ Quelques petits risques malgré tout.” Il a éclaté de rire et dit : “A la fin de l’été dernier, je suis tombé sur un jeune couple, un peu plus loin sur la berge. Quand je dis jeune, ils étaient jeunes. Ils commencent décidément de plus en plus tôt, de nos jours.” J’ai répondu : “Si jeunes que ça ?” Il a dit : “Je dirais seize ans, grand maximum. Ils étaient tout nus, comme vous.” »
Le temps de me dire tout ça, Virginie avait défait trois boutons de sa robe qui était déjà un peu décolletée ce jour-là. Et là, je voyais parfaitement la naissance de ses seins. Ce n’était pas la première fois. A chaque fois qu’elle me racontait une histoire, elle faisait ça. Elle se touchait les seins, tandis que moi je commençais toujours par le bas. J’avais fait ...