1. Rencontre du troisième type


    Datte: 16/04/2020, Catégories: fhh, extraoffre, nympho, grossexe, grosseins, Masturbation entreseins, facial, Oral fist, fdanus, fsodo, confession, occasion, couple+h, Auteur: Mess, Source: Revebebe

    ... fumée épaisse de haschisch.
    
    La bouteille est vide, Pierre s’éclipse dans la salle de bains. Déborah se lève et vide le fond de son verre d’une seule traite.
    
    Mon cœur s’affole en la voyant se rasseoir sur le coin du lit.
    
    Sa robe est complètement remontée sur ses hanches, elle se penche en arrière en s’appuyant sur les coudes et écarte les cuisses, légèrement.
    
    Elle ne porte pas de culotte.
    
    C’est le déclic !
    
    Je viens m’agenouiller entre ses jambes et les ouvre d’avantage.
    
    Son sexe est à quelques centimètres de mon visage. Elle n’est pas complètement épilée comme c’est la mode aujourd’hui, mais garde un triangle sombre et taillé. Elle soulève ses fesses, approche sa chatte vers moi, encore plus. C’est obscène.
    
    Mes oreilles sifflent, mon cœur bat la chamade. De deux doigts elle écarte ses lèvres épaisses. La chair rose, contrastant sur sa peau mate, brille déjà de cyprine. Son mec est encore dans la salle de bains. Il nous laisse faire connaissance, je pense.
    
    Elle colle sa chatte dans ma bouche. Son bassin balance de bas en haut pour se frotter sur ma langue. Déborah gémit. On ne se s’est même pas embrassés.
    
    Brusquement, elle se redresse et retire sa robe d’un geste rapide. Ses seins libérés retombent lourdement sur son buste. Ils sont énormes. La lumière électrique en souligne les moindres détails. Ils tombent légèrement sur le côté, emportés par leur volume. De fines veines bleues les parcourent en tous sens pour rejoindre les mamelons sombres et ...
    ... larges. Ses tétons ne sont pas proéminents mais nettement dessinés. Ses épaules sont étroites, ses bras minces, son ventre plat. C’est pourquoi sa poitrine paraît si disproportionnée, si excitante.
    
    Maintenant complètement nue, en dehors de ses bas, elle se rassoit sur le matelas et me repousse quand je cherche à l’embrasser. D’une main, elle agrippe un de ses seins qu’elle malaxe en jouant avec la pointe. L’autre main disparaît plus bas, trouve son clitoris, et le caresse du majeur. Je me relève, recule un peu pour ne rien rater de son exhibition, dégrafe mon pantalon et sors mon sexe. Il n’a jamais été aussi gros.
    
    — Hum… C’est mon jour de chance, t’as une bonne queue, dit-elle.
    
    Je me masturbe en la regardant s’activer sur sa chatte, puis m’approche. Sa main remplace la mienne sur ma bite. Les yeux grands ouverts elle ne rate rien du spectacle, mon gland à quelques centimètres de son visage.
    
    — Branle-toi sur mes seins ! Ça m’excite.
    
    Le torse bombé, elle les soulève à pleine main. Je passe d’un téton à l’autre, puis me glisse au milieu pour entamer une branlette espagnole. Elle presse au maximum ses deux nichons sur ma queue, qui disparaît sous la masse. Je les baise avec force.
    
    Soudain, la porte de la salle de bain claque. Pierre revient. Je l’avais un peu oublié, celui-là ! L’apercevant, je recule d’un pas. Réflexe lié à l’éducation, sans doute. Mon excitation retombe d’un coup, je souris, l’air bête et gêné. Le pantalon aux chevilles.
    
    — T’arrête pas. Je ...
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