1. Rencontre du troisième type


    Datte: 16/04/2020, Catégories: fhh, extraoffre, nympho, grossexe, grosseins, Masturbation entreseins, facial, Oral fist, fdanus, fsodo, confession, occasion, couple+h, Auteur: Mess, Source: Revebebe

    ... ce que je trouve à répondre. Elle sourit. Un sourire d’ange, contrastant avec l’obscénité de son invitation.
    
    — Non ce n’est pas une blague, je voulais un mec mignon et un peu timide, pour ma première expérience à trois. Et je pense que tu fais l’affaire.
    — Ça se voit tant que ça, que je suis timide ?
    — Oui, à ta façon de baisser les yeux quand une fille te sourit. Mais t’inquiète pas, ça ne gâche pas ton charme.
    
    Elle me tend une feuille de papier pliée.
    
    — On sera à l’hôtel ce soir vers vingt-deux heures, c’est mon numéro de téléphone. Appelle si ça te tente.
    
    Je baisse les yeux. Incurable. Encore ce sourire si sexy. Demi-tour, elle s’éloigne, aussi vite qu’elle est arrivée. Son homme, déjà debout, l’attend. Ils quittent l’établissement.
    
    oooOOOooo
    
    L’immeuble date des années 70. Une période architecturale qui ne fait pas l’unanimité. Il est haut, blanc, et fraîchement ravalé. Moi, il me plaît bien. Ça me rappelle mon enfance.
    
    J’arrive, avec quelques minutes de retard, au rendez-vous fixé par téléphone. Je porte un costard sans cravate. J’ai hésité et me suis dit que ça faisait moins guindé. Onzième étage, je sors de l’ascenseur derrière une vieille dame. La moquette du couloir est beige avec des motifs rectangulaires. J’ai une petite boule dans le ventre. Je voulais les inviter à boire un verre. Mais Déborah a dit qu’on le prendrait dans la chambre, « si ça te dérange pas ».
    
    Toc, toc, toc…
    
    Je suis planté devant la porte de la chambre 415. Ma ...
    ... bouteille de champagne moyennement frais à la main. Plus tendu qu’excité, même si la conversation téléphonique m’a mis plus à l’aise.
    
    C’est elle qui me laisse entrer, vêtue d’une longue robe de soirée, fendue, noire.
    
    Je distingue de suite qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. On aperçoit le dessin de ses mamelons à travers le tissu tendu par le poids de ses seins. Elle est maquillée, plus que cet après-midi. Ça lui donne l’air coquin. Une queue de cheval dégage son cou long et mince. Et toujours ce sourire accueillant.
    
    — C’est gentil pour la bouteille.
    — Je t’en prie.
    
    La nuit est tombée sur la petite chambre, éclairée par plusieurs lampes tamisées, dispersée çà et là. La fenêtre est ouverte, j’aperçois les lumières de Paris.
    
    Le type, assis sur le lit qui trône au milieu de la pièce, se lève, un joint à la bouche, et vient me saluer. Il s’appelle Pierre et a l’air sympathique. D’un geste de la main il me propose son pétard. Je tire deux énormes bouffés, comme un condamné à mort, même si je n’ai pas trop l’habitude. Déborah sort de la salle de bains, où elle a trouvé des verres pour le champagne.
    
    Voilà, je suis affalé dans le fauteuil, complètement stone, je sirote mon champagne tiède. Le couple est sur le lit devant moi. Lui assis sur le bord. Elle allongée sur le côté, jambes repliées, sa robe est remontée, je distingue nettement ses cuisses et le haut de ses bas. On débite des banalités d’usage, mais le courant passe bien. Mes dernières inhibitions s’envolent en ...
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