Un cocu heureux 3
Datte: 16/04/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Accent, Source: Hds
... à la ventouse et a marqué au rouge la viande apprivoisée avant d‘en user en mâle ardent et fougueux. Ces préliminaires ont laissé des traces sur la peau. Mylène guette ma réaction. Je fais l’aveugle, je l’attire contre moi et, à mon tour, j’embrasse la chair si tendre de son cou en chantonnant Brassens « le menu que je préfère, c’est la chair de votre cou » Je mouille cette chair à grands coups de langue, je la mordille et je la suce, je la vampirise. Je n’ai pas le pouvoir de gommer les traces du passage de l’amant indiscret, mais je peux les faire disparaître sous mes propres suçons, fournir l’excuse en en doublant la surface ou le nombre. Ma femme pourra m’accuser et protéger son aventure.
Mylène se laisse marquer avec satisfaction et frémit sous mes baisers appuyés. Elle se tordait contre Gérard, elle grimpe à l’arbre avec son légitime époux. J’imite l’amant en tous points, sur les seins j’élargis les suçons, j’aspire longuement la peau si douce des cuisses à proximité de la chatte.
Pour masturber son sexe, comme l’autre l’ a fait, je reste debout et mes doigts chargés de ma salive pénètrent les cavités déjà visitées et traitées avec entrain par le jeune gaillard. Sous l’attaque Mylène réagit plus fort, ses chairs meurtries par les assauts de l’amant occasionnel sont plus sensibles aux massages. Elle a beau creuser le ventre et reculer la croupe, mes doigts frictionnent son conduit vaginal et ne la perdent pas. Elle serre les dents pour dissimuler la douleur ...
... inavouable. Le travail a déjà été accompli ce soir par un autre. Les caresses à répétition astiquent et irritent sa chatte et deviennent difficiles à supporter, mais il lui est impossible de me le déclarer sans devoir l’expliquer. Elle n‘y tient pas.
Je prolonge le supplice, je fouille et touille la cramouille, je fais trembler tout le corps. Geste pour geste, je repasse où il est passé, j‘insiste où il a appuyé, je racle, je récure, je râpe où il a limé. Avec une différence, j’ai tout mon temps. Je fais durer avec un brin de cynisme dans l’espoir d’entendre Mylène demander grâce. J’aimerais recevoir de sa bouche l’aveu du rapport sexuel précédent avec le maître nageur. Je pourrais remettre les compteurs à zéro en lui disant le plaisir que j’ai pris moi-même à observer comment elle a su apprivoiser et mettre l’oiseau en cage pour lui arracher sa crème.
Tout serait plus simple ensuite, elle connaîtrait mon fantasme et ne s’offusquerait plus d’avoir à le satisfaire. Elle pourrait varier ses conquêtes à l’infini pour me réjouir. Nous serions complices, elle baiserait sans vergogne sous mes yeux éblouis et mériterait ma reconnaissance. Mais elle endure sans lâcher un mot. Comme lui, je lui fourre des doigts puis je lui fais goûter mon index et mon majeur enrobés de sa cyprine.
Elle accueille avec soulagement l’heure de la pipe quand j’appuie sur ses épaules, à l’emplacement où Gérard lui a fourré sa bite en bouche. Elle est accroupie devant ma queue et l’accueille comme elle a ...