1. Un cocu heureux 3


    Datte: 16/04/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... de Gérard. Ma femme baisée par l’un, sautée par l’autre, tringlée par un troisième ou un quatrième, je serai l’homme comblé de la voir s’épanouir et finalement pas mécontent de voir Léo écarté. Car Léo est le candidat de la continuité lassante, de la durée monotone après ce séjour, quand ma femme aspire au changement. Je croyais ne pas le voir pendant deux semaines, or il s’est imposé. Les ébats de ma femme avec l’équipe de son premier amant au camping le décourageront.
    
    - En attendant, avant que ces petits ne t’enlèvent à ton mari, je dois te faire un aveu. L’image de toi enlacée par un jeunot a réveillé ma libido et j’ai une énorme envie de te faire l’amour ce soir.
    
    - Oh! A cette heure? Tu vas réveiller les gens. J’ai les pieds en compote à force d’avoir dansé, je ne suis plus très en forme ce soir.
    
    Les pieds? Ou le sexe? Dans sa gigue elle a plus frappé des fesses sur la table que des talons sur le plancher, sa vulve a encaissé plus de chocs que ses orteils. Mais elle n’en parlera pas. Ai-je vraiment l’air d’un gobe mouche? Je connais l’origine de sa méforme inhabituelle.
    
    - Excuse-moi. J’espérais. Je me disais : Les jeunots se sont frottés à elle, lui ont fait sentir des queues congestionnées et tendues contre le ventre, l’ont longuement échauffée, excitée, fait mouiller, rendue folle d’envie de s’envoyer en l’air, il ne me restera plus qu’à cueillir le fruit mûri sorti de leurs bras. Ce sera un premier soir de vacances merveilleux, où détendus et heureux ...
    ... d’être ensemble, mari et femme se retrouvent et redécouvrent leur amour. De quoi revivifier un couple. Tant pis. La journée mal commencée avec la présence inattendue de Léo, finit sur une nouvelle grosse déception. Ma femme s’est fatiguée en me cherchant paraît-il et s’est trop dépensée avec les autres pour pouvoir faire l’amour avec moi.
    
    - Écoutez-moi ce malheureux. Un soir sans faire l’amour et il pleure. Pauvre chou, comme si je te négligeais. Mais pour toi j’aurai toujours de l’amour. Promets-moi de ne pas te moquer de moi si je ne suis pas aussi performante que d’habitude. Allons au lit, je te ferai regretter tes plaintes. Viens mon amour.
    
    Nous sommes toujours dans le séjour. Les formes de Mylène sont cachées dans une robe de chambre que j’ai baptisée « Tue l’amour ». Je la dépouille et elle apparaît à son avantage dans une nuisette transparente créée pour mettre en valeur le contenu : Des cuisses fermes, naturellement fuselées, des fesses rondes à souhait, des seins au galbe parfait, tout ce qui fait le bonheur de la vue et l‘enchantement du toucher… Aussi attirante ou plus, car vue de plus près qu’avec Gérard. Mylène examine mes traits. Elle sait que le tissu ne cache pas les marques sur sa peau. Le miroir lui a révélé des suçons dans le cou, sur la chair blanche des seins et sur l’intérieur grassouillet des deux cuisses. Il faudra un bronzage sérieux pour atténuer les marques.
    
    Gérard, son premier amant connu de moi, sous mes yeux a tété comme un nourrisson, a joué ...
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