« Moi, Julien… » SAISON 2 EPISODE 4 : Marion comme une évidence
Datte: 14/04/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Castor99, Source: Hds
... transformés en gémissements pour se conclure en un long feulement lorsqu’elle s’est abandonnée à la jouissance. Je l’avais fait jouir comme lors de notre première fois. C’était un beau présage.
Je l’ai laissé reprendre son souffle quelques instants le temps d’aller chercher du coca dans le frigo. Marion n’avait presque pas bougé du canapé, encore un peu dans les vapes, un sourire béat au visage, une mèche de cheveux collée sur son front et quelques gouttes de sueur s’écoulant lentement le long de son cou. Je la regardais tandis qu’elle buvait par petites lampées le coca frais. Elle posa son verre sur la table basse, pris ma main dans la sienne et se releva juste devant moi. Nous étions face à face et nous nous regardions dans les yeux, heureux d’être là, complices, comme si c’était une révélation, comme si c’était une évidence. Ces moments-là n’avaient pas besoin de parole. Elle a enlevé mon teeshirt, j’ai enlevé sa robe, elle a descendu mon short et mon boxer dans un même mouvement, je l’ai emmenée jusqu’au lit.
On a fait l’amour, tout simplement, d’abord elle sur moi, prenant ma bite dans ses doigts pour l’introduire dans son vagin brulant puis ondulant son corps le long de ma hampe, ses petits seins calés dans mes mains chaudes. Puis on a interverti les positions, elle sur le dos, ses jambes que je tenais largement écartées et moi au milieu, campé sur mes genoux, hypnotisé par mon sexe se frayant un passage entre ses lèvres luisantes et par ses doigts s’agitant ...
... fiévreusement sur son clitoris. Plus elle me disait « continue » plus je la baisais fort en écartant encore plus ses jambes le long de son torse. Et plus je la baisais fort plus elle me disait « continue, plus fort ». De ce cercle vicieux il ne pouvait y avoir qu’une seule issue, notre délivrance commune, notre jouissance, son corps arqué, ses yeux presque révulsés tandis que j’éjaculais en elle en longues saccades.
Nous sommes restés allongés l’un contre l’autre, nos battements de cœur se répondant à qui mieux mieux jusqu’à ce qu’ils se calment à l’unisson. Son visage enfoui dans mon cou pour y déposer quelques baisers tendres, Marion passait délicatement ses mains sur mon dos à la fois pour me câliner et pour s’assurer que je resterais bien au fond d’elle si d’aventure l’idée folle de me retirer me prenait. Je ne saurai dire combien de temps nous sommes restés ainsi, en tout cas jusqu’à ce que je débande complètement et que mon sexe ne ressorte naturellement de son antre, laissant s’écouler mon sperme le long de ses fesses. Il a bien fallu se décoller, et ce terme n’était pas galvaudé tant la sueur nous avait soudés. Marion m’a emmené dans la salle de bain en me prenant la main et m’a poussé jusque sous la douche.
Bizarrement, celle-ci était aussi grande que le studio était petit. On y tenait à deux sans problème, et même sans doute à trois. L’eau fraiche nous a fait beaucoup de bien, on se savonnait mutuellement en s’attardant sur nos zones érogènes respectives, en ...