« Moi, Julien… » SAISON 2 EPISODE 4 : Marion comme une évidence
Datte: 14/04/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Castor99, Source: Hds
Le lendemain, après une nuit de sommeil agitée par l’impatience de retrouver Marion, je suis parti de la maison avec mon sac pour la semaine. En passant, j’ai fait quelques courses au Monoprix du coin pour remplir le frigo, quelques produits pour la salle de bain et de quoi personnaliser un peu le studio avec quelques coussins, un ou deux cadres, des bougies, des verres à vin.
J’ai passé l’après-midi à tout ranger et préparer le studio pour qu’il soit plus accueillant. J’ai eu juste le temps de finir vers 19H00 avant que Marion ne m’écrive un SMS : « je suis en bas ». J’ai ouvert la porte d’entrée pour l’attendre et je trépignais d’impatience tandis qu’elle montait par le vieil ascenseur qui couinait au milieu de la case d’escalier. De la porte j’entendis la grille s’ouvrir puis les pas de Marion sur le tout aussi vieux plancher de la dernière volée de marches et des quelques mètres me séparant encore d’elle.
Elle est apparue enfin, au détour du couloir, resplendissante dans une robe d’été à fleur que je n’avais pas encore vue, un énorme sourire illuminant son visage encore plus tanné par le soleil que la dernière fois que je l’avais vue. Plus elle s’approchait plus elle accélérait inconsciemment son pas jusqu’à pratiquement courir. Elle a fini par sauter dans mes bras tout en enlaçant ses jambes autour de moi et en m’embrassant sur la bouche. J’avais mis mes mains sous ses fesses pour la tenir, et après avoir claqué la porte d’un coup de talon, je la déposais sur ...
... le canapé sans me décoller de ses lèvres.
En m’écartant un peu pour reprendre mon souffle, je me suis retrouvé à genoux devant elle sans trop l’avoir prémédité. Mais cette position me donnait accès à son entrejambe alors que ses jambes étaient encore écartées autour de mes hanches. J’ai posé mes mains sur la peau chaude de l’intérieur de ses cuisses et je les ai remontées lentement jusqu’à atteindre la limite de sa petite culotte noire. Puis je les ai redescendues jusqu’à l’intérieur de ses genoux et j’ai recommencé ce petit manège, m’attardant à chaque fois plus longtemps à la lisière de ses grandes lèvres à peine cachées par le coton noir. J’ai continué jusqu’à ce que Marion, les yeux suppliants, abdique en posant sa main sur mes cheveux pour rapprocher mon visage de son sexe.
Message compris. Je l’ai débarrassé de son dernier rempart et j’ai plongé en apnée dans sa chatte inondée. Son clitoris pointait déjà le bout de son nez entre ses lèvres entrouvertes. Son odeur était enivrante et sa cyprine un nectar dont je me régalais. De ma langue je faisais le tour du propriétaire, voguant de son bouton à son périnée, se perdant en chemin dans son vagin humide. Et puis je me suis finalement décidé à me concentrer sur son clitoris, jouant de ma langue parfois tendue parfois souple, parfois tournant autour parfois de haut en bas. Ses soupirs emplissaient le studio, ses mains se cramponnaient à mes cheveux comme si elle avait peur que je m’échappe. Et puis ses soupirs se sont ...