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Un cuisinier pour deux affamées
Datte: 14/04/2020, Catégories: ffh, copains, amour, fsoumise, hsoumis, entreseins, Oral jouet, champagne, Auteur: Rocco si refroidi, Source: Revebebe
... c’est à peine si j’ose encore tenir sa tête. Tina plaque sa main derrière la tête de Valérie et elle ordonne : — Baise sa bouche, Rocco ! J’ai l’impression que Tina vient de déchirer notre scénario tranquille pour nous imposer sa mise en scène perverse. Et si ma verge disparaît presque totalement dans la bouche de Valérie, je ne peux pas dire si c’est parce qu’elle l’avale brutalement, si c’est Tina qui appuie derrière sa tête ou si c’est moi qui donne un coup de reins vers sa bouche ! Ce flash d’excitation intense ne dure pas longtemps pour moi. Car le comportement de ces deux complices est bien trop déstabilisant. J’ai tout de même du mal à assumer certains rôles trop machos. Et même si Valérie est visiblement consentante, c’est trop imposé pour moi. Mais Tina – qui s’est relevée pour venir enfoncer sa langue dans ma bouche – met mes scrupules hors service en faisant flasher dans ma tête les souvenirs intenses que j’ai d’elle quand nous faisons l’amour debout. Je n’ai plus la sensation d’être dans la bouche de Valérie, mais dans le ventre de Tina ! Je ferme les yeux et nous ne faisons plus l’amour que tous les deux. Seuls les roulements de la tête de Valérie, que je perçois dans mes mains, rappellent parfois que nous sommes trois. Et je baise Valérie en agrippant sa chevelure, comme j’agripperais les hanches de Tina ! Ce duo virtuel dure jusqu’au moment où je sens couler la salive de Valérie sous mes couilles. Là, je réalise que nous sommes tous les ...
... trois franchement allumés : elle, qui se laisse empaler par la bouche en gorge profonde, Tina qui mange littéralement ma langue, et moi qui pistonne la tête de Valérie comme un salopard ! Allumés ? Mais que veut dire ce mot dans ces moments-là ? Brûlés par le plaisir de nos pulsions débridées ? Brûlant nos tabous comme sur un bûcher de sorcière ? Peu importe, puisque bâillonnés comme nous le sommes par nos bouches pleines, nos gémissements insensés nous empêchent de revenir sur terre parmi les humains raisonnables. Les gémissements étouffés et les claques de Valérie sur mes cuisses parviennent tout de même à mettre fin à mon délire bien plus vite que je m’en serais cru capable. — Oh ! Pardon, Valérie. Je suis désolé, je ne voulais pas… — Ça ira. C’est seulement parce que je ne pouvais plus respirer. Mais qu’est-ce que ça m’excite de sentir les mains d’un homme crispées sur ma tête quand je le suce ! C’est dommage que tu n’aie pas su te maîtriser, j’aurais adoré te faire jouir comme ça. — Qu’est-ce que je peux faire pour que tu me pardonnes ? Elle éclate de rire et elle répond : — Tu peux me prendre en levrette, j’adore ça ! oooOOOOooo Je l’aide à se relever et Valérie nous entraîne vers le lit où elle prend place à quatre pattes. Le cul parfaitement offert, elle m’observe par-dessus son épaule avec un regard plein d’envies. Je ne résiste pas au plaisir de prendre ses fesses rondes à pleines mains et je les écarte pour laper sa chatte à pleine langue ...